Bla bla

Les malheurs de Sébastien Bourdais



Sébastien Bourdais mal récompensé DPPI

Dans le paddock, il était l’une des principales attractions. L’enfant du pays, âgé de 44 ans, était sans aucun doute l’un des pilotes les plus demandés par les fans, petits et grands. Le Manceau se savait attendu : jamais, depuis 2012, il n’avait disputé l’épreuve sarthoise dans la catégorie-reine. Pourtant, la semaine du Français n’a pas été des plus idéales.

Dès jeudi, un premier évènement majeur affecte son week-end. Le quadruple champion du ChampCar, alors troisième de l’Hyperpole, voit sa séance prendre fin prématurément : la Cadillac n°3 est en proie aux flammes à la sortie de la première chicane des Hunaudières à cause d’un rail d’injection d’essence défectueux. Le drapeau rouge provoqué par cet incident oblige les commissaires de course à supprimer le meilleur chrono de la n°3 et Sébastien Bourdais de s’élancer de la 8e place au départ.

Après un départ prudent, c’est un fait de course évitable qui vient gâcher l’épopée de la « Caddy » jaune. Entre deux slow zones, dans la confusion générale, la Ferrari n°21 vient percuter l’arrière de l’Hypercar américaine. Si les dégâts sont légers, ils obligent le Français à rentrer aux stands et à perdre des minutes précieuses. « Nous avons eu trop d’accidents, trop de choses en dehors de notre contrôle. Le seul bémol dans tout ça, ce sont les procédures, a réagi le Manceau après l’arrivée de la course. Parfois, juste un drapeau jaune, c’est suffisant. Il faut arrêter de vouloir tout contrôler parce qu’on se rend compte que nous sommes ultra-accidentogènes en réalité. »

Les malheurs de Sébastien Bourdais ne s’arrêtent pas là puisque, aux alentours de 2h30 du matin, l’ex-pilote de F1 est percuté par la WRT n°41 aux virages du Raccordement. Par chance, la voiture n’est pas endommagée. Remonté à la 5e, puis à la 4e place au petit matin, le Français est ensuite contrarié par deux problèmes techniques, le privant de tout espoir de jouer le podium à la régulière.

« Il nous manquait 40 % de l’appui sur la voiture, c’était injouable, mais il n’y avait plus grand-chose à jouer. Nous étions à deux tours, c’était fini, a confié le Français après sa 4e place. Nous avons été finalement chanceux dans notre misère. Nous avions aussi des bogues dans l’électronique. Le problème avec ces autos, c’est qu’il y a un “2e cerveau” à bord. Et quand l’autre cerveau commence à partir à l’envers, c’est compliqué. »

Il reviendra encore j'espère.

Déjà c'est certain pour l'année prochaine

Super !
Toujours avec Cadillac ?

PS: dis donc c'est Elkhart Lake ce week-end !! Ne manque pas de nous tenir informé surtout, c'est le plus beau circuit du championnat !

Hey Corin, c'est toi qui fait exploser Paris ?



J'espère que t'es pas concerné...

Je n'habite pas à Paris et j'ai horreur des armes et des munitions

Ok cool alors.
Have a good night.

Est-ce que tu vas mieux Corin ??

Et toujours pas de Corin...