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 L'Histoire de Grand Prix Legends

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Dayrton
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MessageSujet: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitimeLun 2 Fév 2009 - 16:41

GPL, beaucoup connaissent, très peu maîtrisent.
Voilà la simulation clairement posée.
Ce sujet aura pour but de tenter de reconstituer quelle fut l'évolution de GPL à travers le temps en précisant déjà qu'avec GPL, on dépasse nettement le stade de la simulation pour entrer dans un véritable univers parallèle, remplis d'embûches de toutes sortes, de pièges et d'énormes difficultés que seuls les plus forts et les plus tenaces, voire les plus travailleurs, réussiront à surmonter.
Bonne lecture.


1 La naissance.

En 1998, vers la fin de l'année, on commença à voir dans les rayons des grandes surfaces une boite d'apparence banale avec en couverture une image qui allait rester dans les mémoires des fans de courses automobiles.

L'Histoire de Grand Prix Legends 879248GPLbox

Grand Prix légende était né, sorti des mains d'une bande de génies précurseurs regroupés sous l'entité "Papyrus" aujourd'hui disparue.

En arrivant dans l'interface une fois l'installation achevée, la première image qui apparaissait était celle-ci:

L'Histoire de Grand Prix Legends 977241GPL2


Et puis, la découverte des voitures offertes à nos yeux ébahis avec entre autres, la fabuleuse Lotus Ford 49 du regretté Jim Clark.
Avec une hâte compréhensible, on passait directement à la piste pour découvrir ce qui était à l'époque une merveille.

Et ayant sauté par empressement la visite du garage, on était parti avec 111 tours d'essence et des réglages par défaut, ce qui, ajouté au fait que la réponse de ces voitures était d'un impressionnant réalisme et que la température des pneus était gérée par le logiciel, nous amenait rapidement et  inévitablement au fatal crash, le tête-à-queue inévitable pour tout le monde dans cette simulation.

C'est à ce moment que généralement on mettait le soft dans un tiroir: trop dur, infiniment trop dur.
Quelques uns continuèrent quand même et l'aventure GPL débuta.


2 Les premiers pas.

Dans les premières années, les mordus de GPL ne disposaient donc que de 11 circuits: Kyalami, Mexico, Monaco, Monza, Rouen, Silverstone, Mosport, Nürburgring, Spa, Watkins Glen et Zandvoort.
Sept voitures étaient à disposition: Lotus, Ferrari, Brabham, BRM, Eagle, "Coventry" et "Murasama", ces deux derniers noms étant des faux noms, sans doute pour une question de droits, et devaient bien sûr être compris comme "Cooper" et "Honda".

De plus, il existait trois types de voiture pour chacune d'entre elles, "Grand-Prix"(les plus puissantes), Amateur et Débutant, qu'on pouvait assimiler à F1, F2 et F3.

Avec ça on en avait déjà pour un bon moment avant d'avoir fait un bon tour sur chaque tracé dans toutes les voitures et tous les niveaux.

Personnellement, une des premières choses que je fis fut d'aller "vérifier" la crédibilité des tracés et comme je n'en connaissais qu'un seul, je suis donc allé à Spa.
Là bien sûr, ce fut une joie débordante: le tracé était exactement comme celui que je connaissais(sauf "Kemmel" qui n'était pas sinueux) et même les dénivelés étaient fidèlement reproduits. Et de me répéter des dizaines de fois que les gars de Papyrus avaient fait des recherches formidables et un travail fabuleux pour réussir à reproduire sans faute le circuit des années de légende, le grand circuit, le vrai Spa de 14 km.
Ce jeu était donc sérieux et il méritait dès lors qu'on s'y investisse à fond.


Vers fin 2000, les premiers circuits additionnels commencèrent à sortir. Le tout premier d'entre eux était l'oeuvre du GPLEA et s'appelait "Snetterton". A cette époque, il n'était évidement pas équipé d'un installateur automatique et la manipulation à faire pour l'installer n'était pas du tout simple pour les débutants en informatique que nous étions quasiment tous alors, ce qui en rebuta sans doute beaucoup. Un autre circuit add-on qui vit le jour à peu près en même temps était le célébrissime "Brands Hatch" toujours issus des développeurs du GPLEA.

Un GPLEA qui n'allait pas tarder à se lancer dans l'amélioration graphique des voitures et qui fini par nous proposer une version somptueuse de la Lotus 49.

L'Histoire de Grand Prix Legends Lotussc2

Les détails du moteur étaient tout bonnement époustouflants.

L'hébergeur IMAGESHACK a délibérément viré toutes les images uploadées depuis des années par les non-connectés...
L'Histoire de Grand Prix Legends Lotussc5400
(Note: il s'agit ici de la version 3.0 sortie bien après 2000. Topic en construction, je recherche des images des versions 1.0 et 2.0 que je posterais ultérieurement)

Et le GPLEA ne chômait vraiment pas car en plus de tout ce travail, entièrement bénévole, il fournissait aussi des tas de petits addons comme des jantes, des cockpits, des utilitaires, etc.

Dans le même temps, vers 2001, apparu sur le net ce qui manquait le plus à GPL et qui allait devenir un must absolu et incontournable: le GPL RANK. Fabuleux site, quotidiennement remis à jour et recensant absolument tous les pilotes GPL de la planète, du moins ceux qui connaissaient le site. Rapidement on arriva à près de 10 000 membres, tous classés en fonction de leur chronos, ces pilotes consultant régulièrement le site afin de vérifier si leur amélioration avait été battue par d'autres ou si ils conservaient leur position.
Le GPL Rank évoluera sans cesse avec GPL et depuis près de 10 ans, Ed Hut qui gère ce formidable support n'a jamais failli à sa tâche et s'est toujours montré d'une régularité exemplaire.

Un autre outil créé assez vite après la sortie de GPL, et sans lequel le GPL Rank n'aurait pu exister, est le Replay Analyser dont les fonctions permettent de vérifier la validité d'un tour mais aussi, pour le pilote, d'examiner soigneusement ses évolutions et de comprendre où il perd du temps, de disposer de courbes et de graphiques, d'avoir des données chiffrées permettant, après analyse méthodique, d'améliorer ses chronos.
Ce GPLRA allait lui-aussi évoluer tout au long des évolutions de GPL qui n'allaient pas manquer d'arriver grâce à cette gigantesque et formidable communauté de passionnés.
Bref, tout était en place pour que les hotlapers puissent s'en donner à coeur joie et batailler ferme pour tenter de décrocher des records du monde, ce qui sur GPL a toujours été une chose extrêmement difficile tant l'adversité était de qualité.

Les premiers ténors à faire parler d'eux furent le finlandais Gregger Huttu et l'allemand Oliver Reynold, rapidement rejoints pas un autre allemand, Andreas Wilke. Ces magiciens du volant réussissaient de telles prouesses que leurs chronos apparaissaient comme irréalistes et surnaturels, d'où leur appellation désormais classique de "E.T."! Ces extra-terrestres n'étaient pas des jaloux et ils mirent rapidement à disposition tant les replays de leurs tours fabuleux que les setups qu'ils avaient utilisés. Avec ça en main, des milliers de pilotes GPL commencèrent enfin à s'améliorer, à descendre leurs chronos et même à comprendre les réglages de GPL, ce qui n'était vraiment pas la plus simple des choses.


3 La grande aventure.

La grande aventure commence aux environs de l'an 2000 quand, de part le monde, des milliers de groupuscules de copains, virtuels ou réels, décident de faire de petits championnats sur GPL. Bien sûr, le logiciel d'origine était équipé d'un mode très performant permettant de faire un championnat complet contre les légendes de 1967, mais il devait obligatoirement se faire en mode réel, mode qui ne permettait pas de réparer la voiture en cas d'accident, et, vu la longueur des courses, cela rebutait quand même un peu. Personnellement, je n'en ai fait que trois à cette époque et même si j'en ai gardé un bon souvenir, dont une course à Monza(où j'ai été obligé de faire le dernier tiers avec une suspension cassée) ce n'était rien comparé à ce qui allait suivre ! Cependant, une chose était presque magique dans cette formule de jeu. C'est que les performances des autres pilotes s'amélioraient en même temps que l'on signait des tours plus rapides ! Plus on allait vite et plus ils devenaient difficiles à battre !!
Tout cela contribua sans doute grandement à l'éclosion des mini-championnats locaux et souvent très marginalisés, pas forcément connecté et donc souvent anonymes ! Mais dans l'ombre du off web, la légende de GPL grandissait.

Vint alors le temps des championnats sur forum !
C'était devenu simple d'ouvrir un petit forum ou d'utiliser un forum existant même si le sujet premier n'était pas forcément la simulation. Ainsi sur le forum de formule 1 "Daily F1", se constitua un microcosme de simdrivers qui commencèrent à deux, puis à trois, à inscrire dans un message qu'ils avaient tourné en 4'20" à Spa ou en 1'22" à Kyalami !
Même si dans le même temps, là-haut en Finlande, Huttu avait déjà des chronos 30" plus rapides, les championnats GPL étaient nés !

 
4 Les ligues.



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(à suivre)
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MessageSujet: Re: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitimeMer 15 Juil 2009 - 16:00

Dix ans plus tard, le 9 octobre 2008, date anniversaire de sa sortie en France, une bande d'adeptes inconditionnels se retrouvait sur le circuit de Monza pour fêter l'évènement.
En attendant le développement du sujet voici une petite vidéo de cette réunion magique réalisée sur une des évolutions de GPL, le mode 1966.

Pour expliquer un peu l'ambiance très particulière de ce GP d'Italie, fun event organisé par la BCRL, quelques mots s'imposent.
Deux semaines avant ce grand rendez-vous, le 26 septembre 2008, le monde de la course automobile était endeuillé par la disparition d'un de ses plus fidèles adeptes: Paul Newman. Ce grand homme avait beaucoup donné au sport automobile, en tant que mécène et owner de sa propre écurie, protecteur également du jeune Sébastien Bourdais auquel il fit gagner 4 titres consécutifs de ChampCar, mais aussi dans un fabuleux film, "Winning" traitant de la course mythique des 500 miles d'Indianapolis. Dans ce film, il jouait le rôle de "Frank Capua" et ce Capua va être la jonction avec cette course GPL de Monza.

Car durant la semaine précédant l'évènement, je m'étais énormément entrainé tout seul chez moi puis, une fois au point, j'étais monté en online pour tester ma vélocité en course. Et là, comme par magie, je tombe sur un pilote dont le nom était précisément Frank Capua !
A ce moment, je ne savais pas qui c'était, seulement qu'il faisait partie de la BCRL mais je n'arrivais pas à l'identifier formellement.
Et c'était un costaud. Nous avons entre autre, fait une manche de 11 tours(que j'ai précieusement conservée) durant laquelle nous en avons passé à peu près 8 roues dans roues, dont un, complet,  côtes à côtes !! C'était absolument dingue car en plus on ne se trainait pas vraiment et durant cette fabuleuse passe d'armes, nous avons même enrhumé un adversaire en le doublant façon sandwich, un de chaque côté, le perturbant tellement qu'il est parti dans le décors !

Aussi donc, j'étais hyper motivé, d'une part parce que ce Capua me mettait dans une drôle d'ambiance car j'avais l'impression de rouler contre une légende mais aussi naturellement, parce que j'avais envie de gagner cette course et que j'avais la conviction que je pouvais le battre.

Lorsqu'arrive le fatidique moment des qualifications, je suis le premier à sortir et je réalise au premier tour le meilleur chrono jamais fais encore jusque là: 1'32"54 ! Et puis je rentre et je me contente de regarder les autres à la télé en espérant que mon chrono tienne mais sans grand espoir quand même car il suffit d'une bonne aspi pour le battre.

A 10 minutes de la fin, mon chrono saute, battu par une Lotus 44 à moteur BRM H16, puis par deux Ferrari. Je suis relégué 4ème, je dois donc ressortir.
Et là il va se passer un brol pas possible, le genre de truc qui n'arrive qu'à moi.
Conscient que les aspirations sont énormes sur le mode 66(même un peu trop fortes), je surveille la télé pour prendre une bonne roue. Je vois Capua arriver à la Parabolica et je sors directement.
Puis, je vois débouler une Ferrari et je lui emboîte le pas et je la suis tout le tour à distance. Puis dès que le tour lancé commence, je pousse un peu plus. Il va lui-aussi très vite, je me vois déjà bien en pole et je suis confiant. Une fois passée la ligne d'arrivée, je constate avec des yeux écarquillés que je suis toujours 4ème mais le pire c'est que Capua a signé un chrono sous les 1'32" !!!
Je suis complètement déboussolé et je ne comprendrais que bien après la course en revisionnant le replay. L'explication était très simple. La Ferrari que je suivais n'était pas celle de Capua et derrière moi par contre, il y avait une Ferrari et c'était lui dedans !
Donc pendant que je croyais le suivre et que j'accélérais pour faire la pole, lui il était tranquillement derrière moi et bénéficiait royalement de mon aspi pour signer une fantastique pole position en 1'31" et des poussières(record du monde à l'époque).
J'ai rigolé aux larmes en comprenant ce qui s'était passé et il a bien du se marrer aussi car voici son commentaire:

"Effectivement, l'idéal c'est d'être à environ 200 mètres et de se laisser tirer. Le fait de fondre sur le gars devant n'est pas forcément bénéfique, sauf dans la dernière ligne droite évidemment. Devoir changer de trajectoire et gérer le freinage à venir est très délicat et pénalisant (voire fatal)... J'avais devant moi un excellent aspirateur, c'était nickel."

Bravo Frank.

Revenons à la vidéo.
Quand on regarde le départ au ralenti, je suis donc en P4, c'est à dire sur la seconde ligne et en bas, Ferrari numéro 48.
J'ai pris le soin de mette une première courte et de raccourcir d'un point la deuxième afin de m'extraire plus vite du paquet. Aussi, à peine franchie la ligne que je me retrouve second dans l'aspiration de Capua pour aborder la Curva Grande.

Ces images me donnent le frisson, regardez par exemple au premier freinage de Lesmo 1 comment ma voiture tressaille dans tous les sens. J'ai tellement peur de le percuter en ratant mon freinage ! Mais en même temps je ne veux pas le laisser filer et je dois torturer les freins, tout le châssis de la voiture souffre et la fait se dandiner.
Mais on contrôle, ça passe sans casse et on fonce déjà vers Ascari.
Là aussi ça fait frissonner. Regardez et surtout écoutez le vrombissement magique de ces moteurs lorsqu'on passe devant la caméra, on a l'impression de voir une vraie course !

Au premier freinage de la Parabolica, c'est sur des oeufs, les pneus ne sont pas encore assez chaud mais ça déboîte pourtant dans tous les coins ! Il faut vraiment s'imposer, ne pas céder à l'intox sans pour autant obstruer, c'est délicat, je vous raconte pas.

Troisième endroit qui me fait franchement frissonner cette fois, c'est quand je déboîte dangereusement avant la Curva au début du second tour. Je n'ai aucun droit à l'erreur et en roulant je me disais même: "tu ne devrais pas, c'est trop tôt". Très risqué, dangereux pour lui surtout car il ne peut plus passer la Curva correctement et pourtant il a la même vitesse et lui aussi, des pneus pas assez chauds !
Mais ça passe, grâce à sa correction et sans doute aussi à Dame chance.

Pas même le temps d'en profiter, au freinage de Lesmo 1, il me re-déborde par l'intérieur et je ne peux pas retarder mon freinage à cet endroit: il repasse. J'ai fait en tout et pour tout 350 mètres en tête.

Mais je reste optimiste, je le connais bien et je sais que je peux au minimum le suivre. Et je le suis. comme d'habitude je ne fais pas attention à ce qui se passe derrière mais je sens cependant le souffle de "Cadavreàroue", extrêmement rapide, qui est collé dans mes échappements et ne me lâche pas d'un centimètre.
Cette course est décidément partie sur les chapeaux de roues !

La caméra passe ensuite dans mon cockpit et on peut alors voir la puissance de l'aspiration au sortir d'Ascari. Je re-débôite à nouveau mais comme il me connait bien lui aussi, il sait que je suis tout à fait capable de rater complètement mon freinage et de m'étaler dans la terre par excès de précipitation, comme durant nos entrainements. Aussi il ne me laisse pas respirer et freine à l'ultime limite me forçant ainsi à le laisser passer. Bien qu'ayant surmonté mon ardeur et étant resté sur la piste, ce fut tout juste et le contre-braquage violent qui suit le démontre.
Dans mon rétro gauche, vous pouvez aussi admirer la belle sortie d'une Ferrari derrière moi, attestant que l'exercice n'est vraiment pas des plus simples.
Et la vidéo s'achève sur le passage de la ligne à la fin du 2ème tour.

Comme je ne sais pas encore si je finirais cette vidéo un jour(pour le moment je ne peux pas GPL ne tourne plus à cause de la carte graphique), je vous colle le résumé que j'avais écrit à la BCRL le lendemain de la course.


Au 3ème tour, il(Capua) commet une petite faute dans Lesmo 1(c'est en tout cas ce qu'il m'a semblé) et, surpris, je perds le contrôle pour l'éviter. Une fois remis dans le bon sens, ce qui n'était pas évident vu le trafic un jeudi soir, je repars 13ème...

Course poursuite donc et je remonte, mais quelques tours plus tard, je déboîte "Poplife" au freinage de Lesmo 1, il ne me voit pas et il me ferme la porte, un lag fait le reste et on pirouette...Rebelote donc, gros embouteillage dans Lesmo 1 et je repars cette fois 11ème. Un peu de ma faute quand même, j'aurais du attendre un meilleur endroit...

Pour la victoire, c'est perdu mais je continue à attaquer fort déjà très content de n'avoir pas été obligé de resseter l'auto après deux touchettes.

Quelques tours plus loin, une voiture en perdition devant moi(Olivier Guillo) et pour ne pas rentrer dedans je dois rouler contre le rail de droite dans la courbe à gauche juste avant Lesmo 1, un endroit décidément très fréquenté. Et la voiture n'a toujours pas de dégâts majeurs !

Puis au fil de ma remontée sans jamais avoir eu le temps de souffler vraiment, finalement je termine les 33 tours là où j'avais commencé, 4ème mais en prenant le record du tour au passage dans une bonne aspi, celle de Nardin, une petite consolation que j'apprécie.

Superbement bien amusé, c'était un grand moment et c'est absolument fou comment après 10 ans on arrive encore à se plaire dans cette simu.





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MessageSujet: Re: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitimeMer 15 Juil 2009 - 19:21

Coucou,

Juste pour dire que j'ai un peu développé la présentation générale de GPL
au fil des remontées de ma mémoire.
Mais c'est pas encore fini, loin de là.
Et j'en ai profité(tant que j'ai un peu de mémoire lol) pour enrichir la vidéo d'un texte explicatif résumant un peu cette belle course.

Wink

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MessageSujet: Re: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitimeJeu 16 Juil 2009 - 22:39

Ok , t'inquiètes pas je lirai plus tard, là j'ai la tête trop embrouillée et pleine d'émotions ! Smile
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MessageSujet: Re: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitimeDim 4 Oct 2009 - 14:31

La vidéo originale en haute qualité de la course anniversaire de Monza en mode 1966, est remontée sur Filefront et disponible ICI.

EDITION 20 novembre 2011

"Files not found"...

Si quelqu'un la désire, me contacter.

Wink

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MessageSujet: Re: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitimeMer 14 Oct 2009 - 3:55

Citation :
Grand Prix légende était né, sorti des mains d'une bande de génies précurseurs regroupés sous l'entité "Papyrus" aujourd'hui disparue.

Papyrus à qui l'on doit également la célèbre série des Nascar, sans compter les excellents mods des fans, voir même une certaine conversion totale qui à value (dans sa version d'origine) quelques déboires aux auteurs d'ailleurs !! Wink
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MessageSujet: Re: L'Histoire de Grand Prix Legends   L'Histoire de Grand Prix Legends Icon_minitime

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