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corin
Citizen Kane
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeLun 16 Nov 2020 - 14:57

Élection américaine: Donald Trump retire un de ses plus gros recours en justice

La campagne de Donald Trump conteste toujours le décompte de certains bulletins dans des comtés de Pennsylvanie.

ÉTATS-UNIS - L’étau des résultats se resserre outre-Atlantique, près de deux semaines après le scrutin. Ce dimanche 15 novembre, les équipes de Donald Trump, qui refusent toujours de reconnaître la victoire de Joe Biden, ont fait marche arrière en Pennsylvanie.

Dans cet État clé de la présidentielle, la campagne du président sortant demandait à ce que soit annulé le décompte de quelque 682.479 bulletins reçus par courrier ou déposés en avance. Elle arguait entre autres qu’ils auraient dû être annulés, faute d’avoir été comptabilisés en présence d’un observateur notamment à Pittsburgh et Philadelphie. C’est précisément ce point qui a été retiré de sa plainte.

Pour autant cette dernière reste toujours bien en cours sur un autre argument: des comtés, à majorité démocrate, auraient illégalement permis à des électeurs de corriger après coup des “erreurs” dans leur bulletin envoyé par la poste. Des “erreurs” comme une absence de signatures ou une enveloppe non scellée qui auraient de fait conduit à l’annulation de leur bulletin.

Cette fois, le nombre de votes concernés par la plainte est largement plus petit et ne devrait pas changer le résultat. Toutefois, la campagne de Trump argue que les comtés à majorité républicaine n’ont eux pas procédé à ces “corrections”. Les autorités locales et démocrates, elles, s’en défendent et rappellent qu’aucune loi ne les empêche d’aider les électeurs à rectifier leur bulletin s’il contient une défaillance technique.

En persévérant dans cette affaire, la campagne de Donald Trump tente de ralentir à tout prix la ratification des résultats en Pennsylvanie, où Joe Biden est donné gagnant. Dans le week-end, le président sortant a donné l’impression de reconnaître, pour la première fois dans un tweet, une victoire de Joe Biden avant de rétropédaler et d’assurer à nouveau qu’il avait gagné le scrutin et que l’élection avait été truquée.

Mais en l’absence d’éléments probants accréditant l’hypothèse de fraudes électorales massives, la plupart de ses recours ont été rejetés par les tribunaux. Plusieurs autorités électorales locales et nationales, dont l’agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA), ont par ailleurs frontalement contredit le président sur ses accusations de fraude.

“L’élection du 3 novembre a été la plus sûre de l’histoire des États-Unis”, ont-elles affirmé dans un communiqué commun. “Il n’existe aucune preuve d’un système de vote ayant effacé, perdu ou changé des bulletins, ou ayant été piraté de quelque façon que ce soit”.


Avec Biden, le retour à une diplomatie (beaucoup) plus classique
AFP•16/11/2020 à 13:06

Les indiscrétions sur les premiers échanges entre Donald Trump et le Premier ministre australien, début 2017, en ont laissé plus d'un abasourdi: le nouveau président américain avait sermonné le dirigeant de ce proche pays allié, avant de lui raccrocher au nez.

Le premier dialogue, jeudi, entre Joe Biden et le chef du gouvernement australien Scott Morrison a semblé être d'une autre teneur. Selon les détails fournis par son équipe, le président élu des Etats-Unis s'est dit enclin à travailler sur de "nombreux défis communs" avec son interlocuteur, qui s'est engagé pour sa part à lui partager une étude sur la lutte de son pays contre le Covid-19.

Après quatre années d'une diplomatie peu diplomate, ponctuée d'attaques personnelles et d'un désordre permanent face aux dirigeants étrangers, Joe Biden a, quelques jours seulement après l'annonce de sa victoire à la présidentielle, déjà amorcé un tournant.  

Avec le septuagénaire démocrate, les Etats-Unis retrouvent une diplomatie plus prévisible, plus "normale". Voire même un peu fade à la lecture des compte-rendus partagés par son équipe de transition, un canal de communication traditionnel qui avait toujours été plus ou moins soporifique jusqu'à l'élection surprise de Donald Trump en 2016.

Après une conversation téléphonique avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau, que le milliardaire républicain avait un jour qualifié sur Twitter de "très malhonnête et faible", l'équipe Biden a sobrement fait savoir que les deux hommes avaient "réaffirmé les liens étroits entre les Etats-Unis et le Canada", et s'étaient engagés à travailler de concert face au Covid-19 et aux futures menaces biologiques.

L'appel d'Angela Merkel, dont Donald Trump avait ouvertement critiqué la politique migratoire, a accouché d'un même langage diplomatique: Joe Biden a "loué le leadership" de la chancelière allemande et lui a "fait part de son intérêt pour travailler étroitement" sur la pandémie, le changement climatique et d'autres sujets.  

- "Pas sur Twitter" -

L'approche très traditionnelle de l'ancien bras droit de Barack Obama n'est pas une surprise.

Du haut de près de 50 ans d'expérience dans les arcanes du pouvoir à Washington, ce vieux routier de la politique a promis au cours de sa campagne présidentielle un retour à la normale, à des décisions prises en concertation avec les experts plutôt qu'à coups de tweets compulsifs.

Lors d'un discours sur la politique étrangère, Joe Biden a souligné à quel point la présidence Trump avait érodé le respect pour les Etats-Unis à travers le monde, et s'est engagé à tourner la page du "bombage de torse, des échecs auto-infligés et des crises artificielles" de l'administration sortante.

Ce changement n'est pas qu'une question de caractère. Après quatre années d'unilatéralisme trumpien, le démocrate de 77 ans montre aussi qu'il est davantage ouvert que son prédécesseur à collaborer avec les autres pays.

"Trump aime faire les choses de façon bilatérale ou unilatérale. La grande différence est que Biden respecte et comprend le fait qu'il faille parfois travailler de façon multilatérale", explique Monica Duffy Toft, qui enseigne la politique étrangère à l'université Tufts.

"Je pense que ce sera moins personnel, moins chaotique, beaucoup plus protocolaire et évidemment pas sur Twitter", développe-t-elle.

L'universitaire s'attend à voir le démocrate redonner ses lettres de noblesse au département d'Etat, négligé par le président sortant, et laisser moins de place à l'affect dans ses relations avec ses homologues.

Les dirigeants autocrates ont assidûment cherché à communiquer le plus directement possible avec Donald Trump, qui congédiait ses habituels preneurs de notes pour ses rencontres avec le président russe Vladimir Poutine ou que l'on disait ne pas préparer avec ses conseillers ses échanges téléphoniques avec le président turc Recep Tayyip Erdogan.

Son gendre Jared Kushner, nommé en charge du Moyen-Orient, communiquait sur WhatsApp avec le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, susceptible d'être davantage mis sous pression par Joe Biden sur la question des droits humains.  

"C'était plus simple pour les hommes forts de ces pays", juge Monica Duffy Toft. "Ils savaient qu'ils pouvaient, d'une façon ou d'une autre, se faire entendre de Trump et obtenir ce qu'ils voulaient".

"C'est peut-être une bonne chose pour les dirigeants en question, mais c'est très déroutant pour les autres", ajoute-t-elle.
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeLun 16 Nov 2020 - 17:26

Qu'est-ce qui enrage Trump à propos d'Obama ?
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Obama : Premier président noir. Président de la revue d'université Harvard Law Review.
En face, on a Trump qui a fraudé à Wharton.

Obama est marié à la même femme depuis 28 ans sans aucun scandale. De l'autre côté, il y a Trump, 5 enfants de 3 femmes et un nombre incalculable d'aventures.

Obama a sorti le pays de la récession, chose qui a profité à Trump. À l'opposé, Trump a hérité d'une grande économie et s'en est accaparé.

Obama est admiré sur le plan international. Trump n'est pas admiré sur le plan international.

Obama, prix Nobel de la paix. Trump se contente de deux nominations.

Obama a publié plus de 15 livres. Trump a collaboré sur deux livres.

Les bébés arrêtent de pleurer en présence d'Obama. Les bébés pleurent au bout de 50 secondes quand Trump apparaît.

Obama réussit un tir à trois points en étant gaucher. Trump triche au golf.

Obama chante bien en se tenant à la chaire d'une église. Trump ne connaît pas l'hymne national.

Obama compte 126 millions d'abonnés sur Twitter. Trump en a 90 millions.

Obama sait porter un costume. Trump dépense une fortune pour des vêtements standard.

Obama est passé de 0 à 40 millions de dollars. Il s'est construit lui-même. De son côté, Trump a dilapidé un héritage colossal.

Le plus admiré dans le monde qui a épousé la femme la plus admirée dans le monde. En face, Trump n'est pas vraiment admiré et il a épousé... Bon, enfin...

Je n'en ai aucune idée.

Quelles sont les images comparées qui illustrent le mieux la différence entre Biden et Trump ?

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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeLun 16 Nov 2020 - 17:52

Election américaine : quatre affaires judiciaires qui attendent Donald Trump après sa défaite à la présidentielle

Le président des Etats-Unis est visé par plusieurs procédures de justice. Après la passation de pouvoir et l'intronisation de Joe Biden le 20 janvier prochain, Donald Trump pourrait voir les procédures judiciaires s'accélérer contre lui.

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"J'AI GAGNÉ L'ELECTION !" Dans un nouveau tweet posté lundi 16 novembre, Donald Trump continue de se déclarer vainqueur de l'élection présidentielle américaine. Son adversaire démocrate, Joe Biden a pourtant raflé les 270 grands électeurs nécessaires pour devenir président élu des Etats-Unis. L'actuel locataire de la Maison Blanche estime que des fraudes massives se sont déroulées pendant le scrutin, sans pour autant apporter des preuves de ses allégations.

Si le milliardaire s'accroche autant à son poste, c'est aussi parce que lorsqu'il quittera le Bureau ovale, plusieurs enquêtes contre lui pourraient se concrétiser et lui valoir, dans le pire des cas, de la prison. Franceinfo fait le point sur les principales enquêtes judiciaires qui visent le 45e président des Etats-Unis.

L'enquête sur ses impôts n'est pas terminée

Il s'agit de la seule enquête criminelle en cours connue à ce jour contre Donald Trump, selon le New York Times (article en anglais). Le procureur de Manhattan Cyrus Vance, un démocrate, a lancé depuis deux ans une procédure pénale pour fraude fiscale et fraude aux assurances. Lors d'une vaste enquête publiée par le New York Times en septembre 2020, le quotidien américain a montré, documents à l'appui, que Donald Trump n'avait payé que 750 dollars d'impôts fédéraux en 2016 et 2017. Il n'aurait par ailleurs pas payé le moindre dollar au cours de dix des quinze dernières années. Cela expliquerait pourquoi il a toujours refusé de publier ses déclarations d'imposition, à la différence de ses prédécesseurs depuis 40 ans.

Depuis l'automne dernier, le milliardaire est parvenu à bloquer une assignation à comparaître concernant cette enquête. Il a soutenu qu'elle avait un but politique. La Cour suprême devrait de nouveau se prononcer sur une réouverture du dossier, selon le quotidien.

Une autre enquête, au civil, a été lancée par la procureure de l'Etat de New York Letitia James. Il s'agit de déterminer si la Trump Organization, le conglomérat de la famille qui siège dans la Trump Tower, a menti sur la taille de ses actifs pour obtenir des prêts et avantages fiscaux.

L'enquête sur Stormy Daniels le menace toujours

Le financement de la campagne de 2016 est également dans le viseur du procureur Cyrus Vance. L'actrice et réalisatrice de films pornographiques Stormy Daniels a reçu 130 000 dollars de la part de l'équipe de campagne du milliardaire en échange de son silence. L'actrice affirme avoir eu des relations sexuelles avec le magnat de l'immobilier entre 2006 et 2007, ce que Donald Trump a toujours démenti. Dans cette affaire, Michael Cohen, l'ex-avocat personnel de Donald Trump, avait reconnu avoir été à la tête de ce virement. Il a été condamné en février 2019, à trois ans de prison pour diverses fraudes et violation des lois électorales, en raison de ce virement.

Dans ce dossier était mentionné un complice non nommé mais présenté comme un "individu" qui a "mené une campagne présidentielle victorieuse". La playmate Karen McDougal avait pour sa part reçu 150 000 dollars afin qu'elle n'évoque pas ses relations sexuelles avec Donald Trump, toujours en 2016.

L'enquête sur la collusion présumée avec la Russie se poursuit

Lorsque Donald Trump quittera la Maison Blanche, il pourrait être amené à s'expliquer sur ses liaisons avec la Russie en 2016. En avril 2019, le procureur spécial Robert Mueller avait terminé son rapport. Bien qu'aucune preuve formelle de collusion entre le président américain et la Russie n'avait été trouvée, l'enquête s'était arrêtée en raison du statut de Donald Trump. "Si nous étions certains que le président n’a pas commis de crime, nous l’aurions dit", avait conclu le procureur spécial en mai 2019. Durant son mandat présidentiel, Donald Trump avait tout fait pour entraver la bonne avancée de l'enquête, s'exposant même à des accusations "d'obstruction de la justice".

Michael Cohen avait d'ailleurs fait part de ses "soupçons" entre une possible collusion de son ancien employeur et des représentants russes, lors de son audition devant la Cour suprême, en février 2019.

L'enquête sur l'Ukraine plane au-dessus de sa tête

C'est l'affaire qui aurait pu mener à la destitution de Donald Trump. Le 25 juillet 2019, le président américain a téléphoné à son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, pour lui demander "une faveur". Au cours de ce même été, les Etats-Unis devaient verser environ 380 millions de dollars d'aide militaire à l'Ukraine. La "faveur" consistait à faire en sorte qu'une enquête soit possible sur les agissements en Ukraine de Joe Biden, représentant de la Maison Blanche à Kiev en 2014 et de son fils Hunter. Ce dernier a été au Conseil d'administration de Burisma Holdings, un regroupement de sociétés ukrainiennes dans le domaine de l'énergie, alors que son père avait demander au pays de "réduire sa dépendance" envers la Russie en gaz naturel.

Grâce à un vote en sa faveur du Sénat américain, majoritairement républicain, Donald Trump a échappé à la destitution. Une fois qu'il ne sera plus aux affaires, la procédure pourrait reprendre. Ce dossier est désormais entre les mains d'un procureur à Brooklyn, note le New York Times (article en anglais). Ce dernier, en fonction des éléments qu'il détient, pourrait bien ouvrir une nouvelle enquête contre Donald Trump.
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeMar 17 Nov 2020 - 8:50

Présidentielle américaine : Le conseiller de Trump à la Sécurité nationale reconnaît la victoire de Biden

FAIR-PLAY Robert O’Brien, qui travaille à la Maison-Blanche, promet aux démocrates une transition en douceur

Même si Donald Trump n’a toujours pas concédé sa défaite face à Joe Biden, son camp pense de plus en plus à passer la main dans les meilleures conditions. Le conseiller à la Sécurité nationale des Etats-Unis a ainsi promis lundi une transition en douceur vers une administration démocrate.

Robert O’Brien, qui travaille à la Maison-Blanche, a déclaré que le pays avait eu « des transitions pacifiques et réussies même dans les périodes les plus litigieuses ». « S’il est déterminé que le ticket Biden/Harris est le gagnant, et évidemment il semble que ce soit le cas maintenant, nous aurons une transition très professionnelle de la part du conseil à la Sécurité nationale, cela ne fait pas de doute », a-t-il reconnu lors du Global Security Forum, une conférence virtuelle.

En décalage avec le président Trump, Robert O’Brien a aussi affirmé que Joe Biden et sa colistière Kamala Harris avaient « des gens très professionnels » dans leur équipe, capables de reprendre les rênes. « Ils méritent d’avoir un peu de temps pour arriver et mettre en œuvre leurs politiques », a-t-il ajouté.

Joe Biden doit être investi président le 20 janvier, que Donald Trump concède ou non sa défaite, mais l’agence qui gère la bureaucratie fédérale, la General Services Administration, refuse de certifier sa victoire. Cela prive pour l’instant le démocrate d’informations classées secret-défense et de moyens pour préparer la transition.

Trump fait tout pour compliquer l'arrivée de Biden au pouvoir

Même s’il ne reconnait toujours pas sa défaite, le président Trump cherche à mettre des bâtons dans les roues de son successeur.

Savez-vous comment les Américains appellent un président qui va quitter le pouvoir mais qui est toujours en poste, qui préside mais sans marge de manœuvre politique ? Cela ne date pas de Donald Trump, c’est une expression ancienne qui remonte à la colonisation anglaise.

On l’appelle un lame duck, un canard boiteux.

C’est-à-dire que le canard cancane, mais il boite, et ne peut pas aller bien loin. Donald Trump continue à cancaner, ou à gazouiller sur Twitter qu’il a gagné. Mais même s’il boite, il fait tout pour compliquer l’arrivée au pouvoir de Joe Biden le 20 janvier, dans 64 jours.

Voici quelques exemples de ces dernières heures. Sur l’environnement, le gouvernement Trump annonce qu’il accélère la cession de vastes terres dans une réserve naturelle intacte de l’Arctique, au nord de l’Alaska pour qu’elles soient exploitées au plus vite par des forages pétroliers. Des terres protégées depuis des décennies. Joe Biden s’oppose à ces forages, mais l’équipe Trump veut donc que cela se fasse au plus vite pour que le nouveau président ne puisse pas revenir dessus.

Autre exemple : la Maison-Blanche se prépare aussi à durcir sa politique vis à vis de Pekin, en sanctionnant les échanges avec davantage d'entreprises chinoises. Cela ne va pas simplifier la tache de Joe Biden qui va avoir besoin de renouer des liens avec Xi Xinping, notamment pour reprendre des négociations sur le climat.

Et le troisième exemple, le New York Times révèle que la semaine dernière, les conseillers et ministres du président Trump ont dû le dissuader de lancer des frappes contre des sites nucléaires iraniens, en le prévenant que cela pourrait l’entrainer vers un conflit plus large. Le président reproche à Téhéran de ne pas respecter l’accord sur le nucléaire conclu en 2015… Qu’il n’a pourtant eu de cesse de dénoncer et dont il est sorti en 2018. Une escalade avec l’Iran empêcherait le futur président Biden de ressusciter cet accord conclu quand il était vice président.

C’est vrai que le camp Trump accuse Obama d’avoir utilisé les services de renseignement,  juste avant son départ du pouvoir, pour nourrir l’affaire russe qui a empoisonné le début de la présidence. Les républicains n’ont pas non plus digéré qu’un mois avant son départ du pouvoir, le président Obama laisse passer une résolution au Conseil de Sécurité de l’ONU qui condamnait Israël pour le peuplement des territoires occupés, sans que les États-Unis mettent leur veto.

Mais la dernière fois qu’un président, battu dans les urnes, a dû céder sa place à son rival électoral, c’était Bush père et Clinton en 1992, le sortant n’avait rien fait pour gêner son successeur, au contraire, il avait fallu envoyer des Marines en Somalie pour une intervention humanitaire d’urgence, en pleine période de transition, et Bush avait associé Clinton. Ce n’est pas l’état d’esprit de Donald Trump.
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeMer 18 Nov 2020 - 1:00

Donald Trump ne veut pas avouer sa défaite

Le «Tonight Show» de Jimmy Fallon a créé
le discours de défaite de Donald Trump

«Je concède humblement à Joe Biden»

https://quebec.huffingtonpost.ca/entry/tonight-show-discours-defaite-trump_qc_5fb40923c5b6f79d601b7d74?ncid=tweetlnkcahpmg00000011&utm_campaign=share_twitter&guccounter=
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BRtyjkloYFSB5VfwLJQkU0qUxgJ68p0fi-B93QRXgsx6fYPzLQz2zLlD_IWoGxQoxguA_loR0fvQgcDoMhdsBa

Jimmy Fallon Accepting 2020 People’s Choice Awards
https://www.youtube.com/watch?v=rTAg3qf1ATk
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeMer 18 Nov 2020 - 13:35

Donald Trump a cru qu'il tenait sa revanche sur Joe Biden (mais non)

Donald J. Trump@realDonaldTrump
Wow! Michigan just refused to certify the election results! Having courage is a beautiful thing. The USA stands proud!


Le président républicain s'est félicité que des résultats ne soient pas validés dans le Michigan.
Mais sa joie a été de courte durée.


Il refuse toujours d’admettre sa défaite. Depuis le scrutin du 3 novembre, Donald Trump persiste à contester la victoire de Joe Biden, au point qu’il a limogé ce mardi 17 novembre le patron de l’agence gouvernementale en charge de la sécurité des élections, qui défend la probité du scrutin.

Pour prouver ses dires, le président républicain a multiplié les recours en justice, lesquels s’amenuisent au fur et à mesure, faute de preuves. Cela a notamment été le cas récemment en Pennsylvanie. Mais dans la nuit, Donald Trump a pourtant bien cru tenir sa revanche contre Joe Biden, dans le Michigan, État-clé qu’il avait remporté en 2016. Dans un tweet, l’actuel locataire de la Maison Blanche s’est félicité que le comté de Wayne, le plus grand de cet État, n’ait pas voulu certifier les résultats des élections.

Et de fait, les représentants du parti républicain membres du comité des élections ont refusé -dans un premier temps- de valider ces résultats, évoquant des irrégularités notamment dans la ville de Detroit. Une décision très rapidement dénoncée par leurs homologues démocrates ainsi que des organisations non-partisanes.

Si bien que de nombreux citoyens se sont plaints en direct de cette décision lors d’une nouvelle réunion qui s’est tenue en public sur Zoom, relaie CNN. Ils ont notamment accusé les républicains de stigmatiser une ville où la population est à 80% Afro-Américaines.

Finalement, moins d’une heure plus tard, les deux représentants républicains ont changé leur fusil d’épaule expliquant avoir été rassurés par la promesse des autorités fédérales d’investiguer les résultats de Detroit. La victoire de Donald Trump n’aura donc été que de très courte durée.

Joe Biden a remporté le Michigan avec 148.000 voix. Une victoire rendue possible notamment par sa performance dans le comté de Wayne, où il termine devant Donald Trump avec 322.000 voix de plus.

Donald Trump poursuit ses limogeages express

Le directeur de l'Agence américaine de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA), Christopher Krebs, est la dernière victime en date de la purge lancée par le camp Trump.

Le président sortant limoge quiconque ose lui dire ses torts à propos du scrutin présidentiel. Mardi, Chris Krebs, le patron de l’agence gouvernementale en charge de la sécurité des élections, a dû quitter son poste.

Un de moins, encore. La purge post-électorale dans laquelle s’est lancé le camp Trump depuis l’élection présidentielle américaine se poursuit. Toujours déterminé à ne pas reconnaître sa défaite face à Joe Biden, invoquant une fraude pourtant contestée par les agences du gouvernement fédéral, le futur ex-président limoge à tout-va depuis une dizaine de jours. Ce mardi, c’était au tour de Chris Krebs, le patron de l’agence en charge de la sécurité des élections, d’être démis de ses fonctions. Le fait que ce dernier ait contesté les accusations faites par le milliardaire républicain de fraudes «massives» à la présidentielle n’a pas du tout plu à l’impétueux septuagénaire, qui s’est justifié sur Twitter. «La récente déclaration de Chris Krebs sur la sécurité des élections de 2020 était très inexacte, puisqu’il y a eu des irrégularités et des fraudes massives, a écrit le président sortant sur son réseau social préféré. C’est pourquoi, Chris Krebs a été démis de ses fonctions de directeur de l’agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures, avec effet immédiat.»

Son éviction était prévisible : l’agence dont il avait la charge, baptisée CISA (Cybersecurity and Infrastructure Security Agency) lors de sa création en 2018, s’efforçait ces derniers jours à rejeter les accusations de fraude électorale de grande ampleur. «Il n’existe aucune preuve d’un système de vote ayant effacé, perdu ou changé des bulletins, ou ayant été piraté de quelque façon que ce soit», avait-elle souligné dans un communiqué, aux côtés d’autres agences américaines chargées de la sécurité des élections. «L’élection du 3 novembre a été la plus sûre de l’histoire des Etats-Unis», assuraient-elles encore.
«Ce fut un honneur de servir», a réagi Chris Krebs après son éviction médiatique, dans un tweet assorti du mot-dièse #Protéger2020.

Chris Krebs rejoint ainsi la – longue – liste des personnes évincées dans les jours qui ont suivi l’annonce par les médias de la victoire de Joe Biden. Avant lui, le secrétaire à la Défense, Mark Esper, plusieurs conseillers du Pentagone, le vice-président de l’Agence américaine pour le développement international, deux responsables de la sécurité intérieure, un climatologue et le chef de l’agence de sauvegarde des armes nucléaires ont déjà été remerciés.

Une purge tous azimuts à la Maison Blanche

Ce licenciement sans frais de Donald Trump a immédiatement été dénoncé par l’opposition démocrate, qui appelle à accélérer le processus de transition vers la présidence Biden. «Il est pathétique, mais tristement prévisible, que le maintien et la protection de nos processus démocratiques soient une cause de licenciement», se désole le chef démocrate de la puissante commission du renseignement de la Chambre des représentants, Adam Schiff.

«Pathétique, mais tristement prévisible»

L’ancienne candidate démocrate à la présidentielle, la sénatrice Elizabeth Warren, qualifie pour sa part le limogeage «d’abus de pouvoir» par un président «faible et désespéré».

Pendant ce temps, les ministres et conseillers les plus fidèles du candidat républicain déchu assurent toujours préparer le terrain pour «un second mandat Trump». Jusqu’à quand ?
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeJeu 19 Nov 2020 - 15:49

Présidentielle américaine : Michigan, Pennsylvanie, Wisconsin, Géorgie…

Le point sur les recours de Donald Trump


Le combat du président américain se poursuit, alors que plusieurs Etats-clés doivent valider leurs résultats d'ici une semaine

L’heure tourne, et les espoirs s’amenuisent pour Donald Trump. Alors que de nombreux Etats doivent certifier les résultats de la présidentielle du 3 novembre dans les prochains jours, le président américain joue sa survie. Mardi, il a enregistré un revers majeur dans le Michigan, avec la certification des résultats de Detroit, et son avocat Rudy Giuliani est loin d’avoir brillé devant un juge de Pennsylvanie.

Michigan : Les résultats de Detroit certifiés

Le président américain a bien cru tenir une victoire qui aurait relancé le suspense dans le Michigan. Dans l’après-midi, une commission de Wayne County (principalement la ville de Detroit) a, dans un premier temps, refusé de certifier les résultats du scrutin, avec l’opposition de deux responsables républicains. En début de soirée, Donald Trump s’en réjouit sur Twitter : « Wow ! Le Michigan vient de refuser de certifier les résultats de l’élection. Avoir du courage est une chose merveilleuse. Les USA sont fiers ! »

Sa joie ne dure pas. Moins d’une heure plus tard, la nouvelle tombe : après une réunion virtuelle houleuse lors de laquelle de nombreux habitants d’une ville à 80 % noire ont accusé les responsables républicains de chercher à faire annuler près de 200.000 votes, le board accepte de valider les résultats, contre la promesse d’un audit futur. Désormais, Joe Biden, qui compte près de 150.000 voix d’avance dans le Michigan, est assuré de la victoire, avec une certification des résultats attendue le 23 novembre.

Pennsylvanie : Audience difficile pour Rudy Giuliani

C’est le recours de la dernière chance. Après la démission de deux avocats représentant la campagne de Donald Trump, c’est son avocat personnel, Rudy Giuliani, qui est arrivé en renfort devant le juge. Mais « Mister Mayor » n’avait pas plaidé devant un tribunal fédéral depuis 1992, et ça s’est ressenti. Après avoir dénoncé « une fraude nationale massive », il a été forcé de le reconnaître face à un magistrat dubitatif : ce recours « n’est pas une plainte pour fraude ».

Giuliani a passé la majorité du temps à argumenter que des volontaires de la campagne n’avaient pu observer le dépouillement d’assez près. Sauf que ses prédécesseurs ont retiré ce grief de la plainte, et que dans le même temps, mardi, la Cour suprême de Pennsylvanie a estimé qu’il n’y avait pas eu de problème sur ce front. Bref, une mauvaise journée pour l’ancien maire de New York, à qui le juge a donné 24 heures pour présenter ses preuves, avec une décision attendue d’ici à vendredi. A l’heure actuelle, même si certains bulletins étaient rejetés, sur décision du juge ou la Cour suprême des Etats-Unis, cela ne suffirait sans doute pas, vu l’écart, à empêcher la Pennsylvanie de certifier ses résultats d’ici le 23 novembre.

Géorgie : Le recompte se termine, Donald Trump progresse grâce à des bulletins oubliés

Pour Donald Trump, c’est une lueur d’espoir qui risque de ne pas suffire. Deux comtés, Fayette et Floyd, ont retrouvé plus de 5.000 votes qui n’avaient pas été comptabilisés, notamment avec une carte mémoire d’une machine qui n’avait pas été uploadée. Cela profite au président américain, qui a obtenu 1.500 voix de plus que Joe Biden, avec un écart qui passe de 14.000 à 12.500 voix en faveur du démocrate. Mais à moins d’un coup de théâtre d’ici la fin du recompte mercredi soir, le président sortant ne devrait pas réussir à combler son retard, avec des résultats qui doivent être certifiés d’ici à vendredi.

Arizona : « Pas de preuve de fraude », selon un responsable républicain

Le dépouillement est désormais terminé, et l’écart s’est réduit à seulement 10.500 voix en faveur de Joe Biden. Mais dans l’Arizona, il n’y a pas de recompte automatique, et des élus républicains tentent de bloquer en justice la certification des résultats du gigantesque comté de Maricopa (Phoenix). Mardi, un responsable de la commission électorale, qui est également républicain, a déclaré qu’il n’y avait « aucune preuve de fraude ou d’irrégularité ». Des vérifications doivent toutefois encore durer quelques jours, avant une certification attendue d’ici au 30 novembre.

Wisconsin : Donald Trump a jusqu’à mercredi soir pour demander un recompte

Le Wisconsin est le troisième Etat le plus serré, avec 20.000 voix d’avance pour Joe Biden. Sur le papier, Donald Trump peut demander un recompte car l’écart est inférieur à 1 point. Il a assuré qu’il allait en exiger un, mais aucun recours n’avait été déposé mardi, avec une date limite fixée à 17 heures ce mercredi. La facture serait salée, avec un coût de 7,9 millions de dollars que devrait régler sa campagne. Le Wisconsin a jusqu’au 1er décembre pour certifier ses résultats.[/color]
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeJeu 19 Nov 2020 - 18:52

Biden approaches 80 million votes in historic victory

President-elect Joe Biden’s winning tally is approaching a record 80 million votes as Democratic bastions continue to count ballots and the 2020 election cracks turnout records.

Aux États-Unis, on appelle le président sortant durant cette période de transition le «lame duck», le «canard boiteux». Avec Donald Trump, il s’agirait plutôt d’un canard décapité courant à toute vitesse et dans tous les sens pour profiter des dernières secondes qui lui restent.

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What does Donald Trump look like?

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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeVen 20 Nov 2020 - 16:59

Donald Trump « bunkerisé » à la Maison-Blanche :
il broie du noir devant la télé
IL S'ENFONCE DANS LE DÉNI


Donald Trump vit ses derniers jours à la Maison-Blanche.

D’après les révélations de CNN, le 45e président des États-Unis s’apitoierait sur son sort et aurait délaissé son rôle de chef.
Jusqu’à l’investiture officielle de Joe Biden, le 20 janvier prochain, Donald Trump garde sa place à la Maison-Blanche. Le président des États-Unis sortant pourrait profiter de ses derniers instants de privilégié. En réalité, il s’apitoie sur son sort. Reclus sur lui-même, le magnat de l’immobilier plonge dans des idées noires. Plus rien ne l’enchante. D’après les révélations de CNN, celui qui continue de contester l’élection frôle les murs. Le chef de l’État refuserait, d’ailleurs, toute apparition publique. Ce mardi 10 novembre, nos confrères relataient qu’aucun événement public” n’avait été mentionné dans l’ordre du jour de Donald Trump. Et ce, pour la dixième fois depuis la victoire de son successeur. Le milliardaire fuit les journalistes et les caméras comme la peste. Un responsable de la Maison-Blanche s’inquiète de son retrait. “Cela ressemble à une mentalité de bunker”, a-t-il affirmé.

Toujours d’après le CNN, l’époux de Melania Trump aurait tiré un trait sur ses vacances à Mar-a-Lago. Le républicain de 74 ans devait célébrer les fêtes de fin d’année, comme Thanksgiving, en compagnie de sa famille. Mais il préfère finalement rester à Washington, à la Maison-Blanche. À l’abri des regards, Donald Trump ne prendrait plus la peine d’endosser son rôle de chef de l’État. Ses seules activités consistent à regarder la télévision, toutes les matinées durant, et faire des allers-retours entre le bureau et sa salle à manger. Vidé de toutes ses ambitions, le père d’Ivanka Trump se laisserait abattre. Il n’aurait, d’ailleurs, pas pris la peine de rendre hommage aux cinq soldats américains, tués dans un accident d’hélicoptère ce jeudi 12 novembre, lors d’une mission de maintien de la paix en Égypte. Pourtant accroché à son pouvoir, tout lui est égal.

Du côté de Melania Trump, l’humeur ne serait pas à la fête non plus. Des rumeurs rapportent que l’ancien mannequin slovaque compterait les minutes avant son départ, et préparerait son divorce. Alors que son mari délaisse son rôle de chef de l’État, la maman de Barron Trump s’efforcerait de garder le contrôle. Comme nous vous le révélions, la First Lady organiserait déjà les décorations de Noël - une véritable tradition à la Maison-Blanche. Avant de plier bagages, donnera-t-elle à un dernier coup d’éclat à l’office présidentiel ?
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MessageSujet: Re: Cinéma   Cinéma - Page 26 Icon_minitimeSam 21 Nov 2020 - 10:12

Elections américaines: Trump voulait influencer les résultats du Michigan, c'est raté

Donald Trump a reçu des représentants du Michigan dans ce qui a été décrit par l'équipe de Joe Biden comme une initiative "pathétique".

L’étau se resserre autour du 45e président des États-Unis. Les espoirs de renverser le score de l’élection présidentielle du 3 novembre dernier, remportée par Joe Biden, s’amenuisent pour Donald Trump. Le candidat républicain à sa réélection a lancé de nombreux recours juridiques à travers le pays. Au grand dam de ce dernier, les résultats continuent d’être certifiés, en Géorgie par exemple, où après un recomptage la victoire de Joe Biden a été confirmée.

Dans le Michigan, la conclusion qui approche ne semble pas favorable à Donald Trump. Ce vendredi, le président avait invité - voire même “convoqué” selon le New York Times -  dans son bureau, des représentants du parti républicain officiant dans cet État, où Biden est donné gagnant. Parmi ces “invités” au bureau ovale, se trouvaient les speakers de la chambre et du sénat du Michigan, respectivement Lee Chatfield et Mike Shirkey.

Tous deux, comme leurs confrères, ont assuré après leur rencontre avec le président qu’aucune irrégularité n’avait été observée dans le Michigan, où la date limite pour certifier les résultats a été fixée au lundi 23 novembre. “Nous ne sommes pas au courant d’informations qui pourraient changer l’issue de l’élection dans le Michigan. Le processus de certification devrait se dérouler sans menace et intimidation”, ont-ils déclaré dans un communiqué dont la première partie est surtout consacrée à la lutte contre le Covid dans le Michigan.

Le processus de certification dans le Michigan doit être libre de toute intimidation et menace”, ont-ils ajouté.

Cette réunion a fait couler beaucoup d’encre et déclenché un véritable tollé côté démocrate.
Bob Bauer, avocat de l’équipe Biden, a dénoncé vendredi une initiative “affligeante” et “pathétique”.

Le sénateur républicain Mitt Romney a accusé le président d’exercer “des pressions manifestes sur les autorités nationales et locales” pour “renverser la volonté du peuple”. “Il est difficile d’imaginer une action pire et plus antidémocratique de la part d’un président américain en exercice”.

Interrogée sur cette rencontre, Kayleigh McEnany a affirmé, sans convaincre, qu’elle n’avait rien à voir avec les résultats électoraux et faisait partie des rendez-vous classiques du président avec différents élus du pays. S’il est moins virulent dans ses dénégations depuis quelques jours, Donald Trump refuse toujours de reconnaître la victoire de Joe Biden et d’enclencher ainsi la période de transition. Toutefois, la perte définitive de la Géorgie et celle annoncée du Michigan porte un coup quasi fatal à ses recours juridiques. Sans ces deux États, impossible d’engranger assez de grands électeurs pour rester à la Maison Blanche jusqu’en 2024.

Rudy Giuliani : l’avocat de Donald Trump devient la risée de la Toile à cause de ses cheveux

La teinture dégoulinante de Rudy Giuliani moquée en direct par les community managers de Trump
« Est-ce que tu vois la putain de teinture de Rudy qui dégouline sur son visage ? », a demandé un community manager de la chaîne YouTube de Donald Trump, pensant son micro éteint.
  :haha
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Mais ce ne sont pas ses mots ni le message qu’il a voulu faire passer que les internautes ont principalement retenus. Sous le feu des projecteurs, Rudy Giuliani s’est donné en spectacle pour animer ses propos mensongers. A tel point que l’avocat de l’actuel président des Etats-Unis a eu un sacré coup de chaud et a sué à grosses gouttes.

Si la transpiration est le lot du commun des mortels, force est de constater que celle de Rudy Giuliani a été plus que remarquée. Il faut dire que si elle était quasiment indétectable sur ses vêtements, c’est au niveau de son visage (enfin de ses cheveux) que les choses se sont gâtées. Après plusieurs minutes d'agitation sans faille, les spectateurs n’ont pu que constater qu’un liquide noir s’écoulait sur les joues de Rudy Giuliani. Une couleur qui provenait de sa teinture qu'il ne s'était, on l'espère pour lui, pas donné trop de mal à dissimuler, à l'image de son client.
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