Grey Wolves Expansion 3.0 Gold

Contre-ordre.

Suite à une patrouille de 66 jours à bord de U-228 sans rencontrer un seul navire, je suis revenu en arrière et j'ai repris une sauvegarde à la fin de ma dernière mission à St Nazaire.
Cette fois j'ai demandé ma mutation pour la 23/29ème Flottille et je suis désormais basé à La Spezia en Méditérannée mais toujours avec U-135.

Actuellement en mars 1943 au large de la Sicile, je vais me rencarder pour savoir où je dois être exactement pour croiser la flotte d'invasion....ou pour l'éviter.

Tout va bien à bord, avons déjà coulé un gros cargo et un escorteur.

Toute la flotte italienne était à La Spezia à notre départ, y compris le prestigieux Vittorio Venetto.

Images envoyées par pigeon voyageur, patience, elles arrivent.

JC, Klt U-135.

Première mission en Méditérannée terminée, U-135 est rentré sans dommages à La Spezia avec près de 40 000 tonnes à son actif.

Résumé en images(cliquez pour agrandir).

En quittant La Spezia nous dépassons un petit sous-marin italien.


Arrivé sur zone nous ne tardons pas à intercepter un petit convoi de deux bateaux, un minéralier escorté d'un petit navire de guerre anglais.


Le minéralier suit rapidement le même chemin malgré ses tentatives pour nous éviter.


Puis nous faisons surface pour achever l'anglais au canon.


Et nous partons laissant les naufragés à leur triste sort, pas de place à bord, c'est un sous-marin, pas un autobus(lol).


Après avoir poursuivi une petite escadre de quatre navires de guerre et coulé deux croiseurs classe Southampton, nous interceptons un convoi fort bien protégé. Nous ne pouvons pas approcher trop près mais je réussi quand même à lancer deux torpilles sur un gros transport de troupes de 24 000 tonnes qui sombre corps et biens quelques minutes près les impacts.


Les destroyers font la chasse à l'intru et se montrent menaçants.


Mais heureusement pour nous, ils sont relativement imprécis(incroyable en mars 1943, sans doute un équipage de débutants) et nous réussissons à nous échapper. Cap sur La Spezia où nous arrivons fin mars 1943 et admirons une fois encore la somptueuse flotte italienne.






Et maintenant un peu de repos avant de repartir au combat. Dès que je le peux je vais essayer d'aller à la 12ème Flottille de Bordeaux et m'offrir enfin mon très cher U-178, type IX/D2 et son paquet de torpilles car sur le VII/C42, on est un peu limité quand même.

Dans la série "apprendre en jouant" voici un petit résumé indispensable au subsimer qui comme moi se trouve en Méditérannée en 1943.

À la fin de 1942, la Grande-Bretagne et les États-Unis mettent un terme aux succès retentissants remportés par l'Afrikakorps du maréchal Erwin Rommel, qui menaçait de se rendre maître de l'Égypte et du canal de Suez. En effet, le 4 novembre 1942, la Huitième Armée britannique commandée par le général Bernard Montgomery stoppe les troupes allemandes à el Alamein, en Égypte, et les oblige à se replier. Le 8 novembre 1942, des troupes américaines et britanniques débarquent en Afrique du Nord : c'est l'opération Torch. L'Afrikakorps est pris en tenailles entre les forces de débarquement qui poussent vers l'est et la Huitième Armée qui poursuit son avance vers l'ouest. Le 12 mai 1943, les Alliés ont enfin repris possession de l'Afrique du Nord.
L'invasion de la Sicile constitue, à toute fin pratique, la conclusion logique de la campagne d'Afrique du Nord puisque la prise de l'île redonne aux Alliés le contrôle sur la majeure partie de la Méditerranée. Un deuxième objectif importe aux chefs alliés : obliger l'Allemagne à détourner une partie de ses forces terrestres et aériennes vers le sud pour faciliter la lutte de l'U.R.S.S. sur le front est.
L'opération Husky, le nom de code pour l'invasion de la Sicile, présente des risques importants. La flotte de débarquement doit passer au large du golfe de Gascogne pour entrer ensuite dans la Méditerranée. Or, ces eaux sont infestées de U-boote. Le 4 et le 5 juillet 1943, le convoi d'assaut lent est attaqué au large de l'Algérie et trois cargos de transport de matériel sont torpillés. Quelque 52 militaires canadiens sont portés disparus et plus de 500 véhicules sont perdus.
Les stratèges alliés s'attendent à ce que les forces terrestres rencontrent une forte résistance. En effet, l'île est défendue par la Sixième Armée italienne, qui compte plus de 200 000 hommes, et par deux divisions allemandes motorisées, les 15e et 90e Divisions panzer de grenadiers.
Le débarquement
À l'aube du 10 juillet 1943, la flotte alliée s'approche de la pointe sud de la Sicile et le débarquement commence. La Septième Armée américaine, commandée par le général George Patton, prend les plages du golfe de Gela. Pendant les 5 semaines que dure l'invasion de la Sicile, une partie des troupes américaines longera la côte méditerranéenne vers l'ouest pour ensuite remonter vers Palerme. Pendant ce temps, les autres unités de Patton s'avancent sur le centre de l'île jusqu'à la côte septentrionale qu'elles longent ensuite vers l'est jusqu'à Messine.
Plus à l'est, la Huitième Armée britannique du général Montgomery débarque ses troupes le long du golfe de Noto, entre les villes de Pachino et Syracuse. Elle doit ensuite monter vers le nord pour prendre les régions montagneuses du centre de l'île d'une part et, d'autre part, libérer la côte est jusqu'au détroit de Messine. L'ordre de bataille de la Huitième Armée britannique comprend, en plus des divisions britanniques, plus de 26 000 militaires de la 1re Division d'infanterie canadienne, commandée par le major-général Guy Simonds et la 1re Brigade blindée canadienne, sous les ordres du brigadier R.A. Wyman.

Au travail.

Enorme 21ème patrouille !

Après un bref congé à la Spezia, j'ai reçu le commandement de U-371, type VII/C, avec pour objectif d'aller patrouiller au large d'Alexandrie, pas moins !
Arrivé près de La Valette, nous avons croisé un paquebot type Aquitania et l'avons coulé sans problèmes.

Puis, poursuivant notre route, nous tombons alors sur une énorme escadre anglaise comprenant le HMS Rodney, HMS Nelson et HMS King Georges V et des tas d'escorteurs tout autour. Mais notre approche était magistrale et nous nous sommes retrouvé au beau milieu de l'escadre avec le King Georges V à 900 mètres de nos tubes !!
Magnifique.

Touché par deux torpilles tirées à bout portant, le cuirassé a fini par sombrer corps et biens. Mais les ennuis commençaient. Pris en chasse par 4 escorteurs furieux, je voyais ma fin venir d'autant qu'ils étaient cette fois terriblement précis.
Immédiatement très gravement touché, on a réussi à maintenir le bateau à 145 mètres durant les réparations. Les leurres largués avant nos changements de cap, de profondeur et d'allure, ont fortement dérouté l'ennemi. J'ai même pu suivre une charge sous-marine sous l'eau et elle est allée exploser pile contre le nuages de bulles provoqué par les leurres.

Finalement je m'en suis tiré en naviguant silencieusement à 1 noeud, mais terriblement endommagé au point que je n'ai pas pu rallier mon point de mission et suis donc rentré directement à La Spezia, sans hydrophone, sans Sonar, avec un seul tube actif, périscope d'attaque détruit, etc...

Mais tout le monde est sain et sauf c'est l'essentiel et je rapporte plus de 80 000 tonnes.

Quelques images. Notez que ces screens n'ont pas été retouchés. J'ai testé pour cette mission un add-on "water" qui rend la mer terriblement différente de la version originale et qui me plait beaucoup.















A suivre.

J'ai un goût d'eau salée en bouche...
Me suis fait couler par un tir de hérissons d'une précision incroyable après avoir coulé 50 000 tonnes de transports de troupes...

Le temps de digérer le sel et je reprends ma sauvegarde faite juste avant cette rencontre, faut que je trouve le truc pour en sortir vivant...

Damned, j'avais oublié que j'avais ajouté un add-on assez anachronique dans SH3.
Et voilà seulement que je viens de tomber dessus.
Je vous laisse savourer en signalant que j'ai tiré dessus mais que je l'ai raté.












Je suis content de l'avoir raté, j'aurai pas aimé qu'on me prenne pour un glaçon.

:lol!:

PS: vous notez que l'on ne voit que trois fumées. La quatrième cheminée du Titanic était en effet factice. Quelle merveille cet add-on, la 4ème photo en fond d'écran c'est sublime.

23ème mission terminée, nous avons eu très chaud.
Les avions sont de plus en plus présents et même si nous en avons abattu 3, ils nous ont fait des dégâts. En plus, pour la première fois depuis que je joue sur SH3, j'ai perdu 3 hommes d'équipages, mes trois sous-officiers canonniers, tués par l'explosion d'une bombe sur l'avant du bateau.

Nous avons pu réparer les dégâts et rentrer dare-dare à La Spezia avec tout de même plus de 60 000 tonnes à notre actif, mais c'est ternminé, je vais demander mon transfert pour ailleurs, la Méditérannée est trop dangereuse(et puis on est en juillet 1943 et dans un mois on ne sera plus là).
Pas pu voir la flotte d'invasion de la Sicile.

Les images. Aucune retouches de couleurs sur ces images, c'est 100% le rendu du mode water que je teste. Je sais pas vous mais personnellement je le trouve magnifique.

Au départ de La Spezia, 23 juin 1943. Admirez le réalisme de l'eau.


Ce minéralier a fini par sombrer après une longue course poursuite dans le mauvais temps.


Un petit cargo explose sous notre torpille.


Son escorteur, un destroyer type "Hunt", suit le même chemin.


Le bilan avec le rappel sinistre de nos trois tués...


A suivre mais plus dans la grande bleue...

Petit rapport d'activité.

J'ai terminé ma 24ème patrouille puis suis donc allé à Lorient dans la 10ème Flottille.
Normalement ça doit me faire aller à Penang.

Et effectivement, alors que mon U-178 venait de couler 81 000 tonnes de navires ennemis, BdU m'envoit un message me donnant ordre de ravitailler auprès du navire Brake ancré à l'Est de Madagascar avant d'être envoyé à Penang.

Le seul ennui c'est qu'il n'y avait pas de Brake à Madagascar...Erreur dans le jeu, il y a juste le "Charlotte Schlieman" situé 5 000 km plus loin et dans le Sud...
Enfin je suis allé là, j'ai réarmé et suis remonté en trombe jusqu'à Penang où je suis actuellement en attente de mes nouvzelles torpilles accoustiques, elles font un vrai malheur. On peut même les tirer sans sortir le périscope, elles se dirigent vers le bruit le plus proche et boum ça explose.

Evidemment, il est préférable de faire moins de bruit que les navires ennemis...



Photos quand j'aurai un peu plus de courage.

Après avoir rallié Penang, je suis reparti pour une patrouille en Mer de Tasmanie.
C'est pas la porte à côté mais j'y suis quand même allé. Pas un chat.
De plus, alors que j'étais dans le secteur depuis plus de 24 heures, il ne m'avait toujours pas validé ma mission.

Désespéré j'ai piqué une pointe jusque Freemantle mais là non plus, pas un navire pas un contact, rien.
Je suis alors remonté en trombe à Penang avec zéro tonne coulée...Evitez les Monsun U-Boot, ça paye pas. La seule chose de bien c'est que pour une fois les ordres reçus par radio peuvent être suivis à la lettre.
Ensuite j'ai demandé à être muté à la 2ème Flottille ce qui me fut accordé.



Et le 12 octobre 1943, je quittais Lorient au petit matin, les soutes bourrées de torpilles acoustiques T4 et T5.



A peine arrivés au milieu du Golfe de Gascogne, un Wellington nous attaque de nuit. La FLAK fait son travail mais le rate et le bateau est abîmé légèrement. Nous plongeons pour qu'il nous lâche un peu et quand quelques heures plus tard nous remontons, c'est pour être attaqué par un Catalina. Celui-là, les gars de la FLAK le mettent dans l'eau mais il a encore abîmé un peu plus le bateau, l'intégrité de la coque est descendue à 78% alors qu'on est à peine partis...Cette 27ème mission ne commence pas sous les meilleurs augures.

La longue route vers DN67 commence mais nous n'y arriverons jamais. En chemin un écho-hydrophone est signalé. Nous nous détournons vers lui et arrivé sur la zone c'est pour voir qu'il s'agit d'un bon petit convoi d'une douzaine de navires escortés par trois destroyers. Nous sommes mal situés, dans son arrière babord et il file 9 noeuds alors que nous avons de la peine à tenir 7 noeuds. De brèves incursions en surface seront nécessaires.
Et pour commencer, essayons nos merveilleuses torpilles sur les escorteurs qui arrivent droit sur nous, attirés par le bruits de nos moteurs à fond.
Une T4 est lancée par le tube 1 sur un destroyer estimé à 5900 mètres. La T4 peut courir 7500 mètres et elle file vers le navire anglais. Je coupe les moteurs immédiatement après le tir pour éviter que la torpille revienne vers nous.
L'anglais peut zigzaguer ça ne sert plus à rien. Une fois arrivée dans son voisinage, la torpille se détourne et fonce sur ses hélices, quoi qu'il fasse.
Et après un temps interminable, boum, un contre-torpilleur de Sa Majesté sombre.
Et dire que précédemment je n'utilisais pas ces torpilles car ils disaient que la cible devait filer 12 noeud pour être efficace...C'est faux, ça marche à toutes les vitesses.



Les deux autres escorteurs suivront le même chemin puis je fais surface et me rapproche un peu. J'attaque au canon de loin tout en lançant mes torpilles l'une après l'autre. Aucune ne rate sa cible sauf une qui a fait demi-tour parce que j'avais oublié de couper els moteurs. J'ai du plonger en catastrophe et elle m'a raté.
La nuit se passe comme ça à poursuivre les cargos. Et j'épuise toutes mes munitions canon. Quand j'avance trop fort les cargos tiurent sur nous et nous font de grôs dégâts. La coque n'est plus qu'à 38% d'intégrité mais au petit matin, de ce convoi il n'y a plus maintenant que 2 Liberty et un petit cargo.
Le premier Liberty est à son tour percuté par une T5 et coulera peu après.



Ensuite je décide d'annuler ma mission et de rentrer réparer fort de ces 55 000 tonnes coulées.



Et le 21 octobre 1943, nous rentrons à Lorient après seulement 9 jours de mer mais avec un joli tableau de chasse portant notre total à près de 1 million de tonnes.



A suivre.

Considérant la date, février 1944, la sortie que je viens de faire est fantastique.
Rappelons qu'à cette époque, les U-Boot n'ont plus la moindre chance dès qu'ils sont repérés.

Or, après avoir ravitaillé auprès de U-488, je suis remonté vers Lorient et en chemin, contact, gros convoi.
Placé en arrière et à plus de 250 km, je me dirige vers lui en surface, suivant une course presque parallèle qui devrait me mener devant le convoi pour l'attendre.
Mais en chemin des escorteurs se détournent et foncent sur moi. Un seul d'abord que j'attends en plongée périscopique moteurs arrêtés. Je lui décoche une torpille acoustique qui rate(tirée de face...), puis une autre avec le tube arrière ainsi qu'une T3 Fat 2(celle qui fait des cercles).
Je pensais déjà que j'allais y rester quand il a soudain explosé. Et de un.
Deux autres rappliquent et je réussi aussi à en couler un avec des T3 ! L'autre prendra la fuite ! Durant tout ce temps, je suis resté à profondeur périscopique me contentant de louvoyer pour ne pas qu'ils m'éperonnent.

Deux escorteurs coulés c'est incroyable en 1944 mais le plus beau reste à venir.
Je reprend ma route parallèle en surface et je fini par me retrouver devant le convoi. Je plonge à 18 mètres, je stoppe les machines et j'attends.
A nouveau les escorteurs me repèrent et en plus cette fois mon frame rate chute gravement à 3 fps en vue F12 avec toutes les lumières des bateaux allumées...
Ils me canardent, ils m'abîment mais ils ne peuvent pas tirer à 18 mètres de profondeur !!!
J'ai trouvé le truc je pense quoique pourtant ils m'ont fait une sale blessure sur le flanc...

Ensuite, vu mon frame rate mortellement bas, j'ai tiré mes torpilles plus au jugé qu'au périscope et j'ai coulé trois cargos dont un gros Liberty.
Puis j'ai pris route inverse en restant assez haut, 20 mètres. Canardé par trois escorteurs que me tenaient dans leurs feux croisés, je me suis contenté de lâcher des leurres juste avant de changer de cap, 30° chaque fois, et en ne variant ma profondeur qu'entre 20 et 30 mètres, je n'osais de toute façon pas descendre plus bas, ma coque est à 36% !

Et finalement, ils m'ont lâché et sont retournés escorter leur convoi !
Absolument incroyable !
Ensuite j'ai fait surface au petit matin pour recharger les batteries et réparer la FLAK et je m'en sors donc avec pour tout dommage le canon détruit en plus de la coque affaiblie évidemment.

Vraiment, je ne pensais pas une seconde que j'aurai pu en sortir.
Maintenant je vais tenter de rallier Lorient prudemment car les avions deviennent très nombreux et ils mettent le paquet: des B17 pour chasser le sous-marin c'est nettement inéquitable !

Photos plus tard.