Carrière Von Libin(2)

Après réparations et ravitaillement, retour dans la zone désignée.
Plusieurs succès dont enfin un gros pétrolier, très rapide.

























































La suite plus tard, c'est l'heure du cuistot !

17-3.

Retour au Nord du Vénézuela pour une bonne pêche. Plusieurs gros pétroliers coulés et un autre gravement endommagé qui refuse de couler mais...je n'ai plus une seule torpille et la mer interdit l'usage du canon. C'est rageant !
En route vers U461 pour ravitaillement.

Après ravitaillement près de U461(qui est resté invisible ???), route vers Brest. En chemin encore quelques cargos coulés.
Alors que j'étais en Surface à pleine vitesse, un navire allemand se présente. Mes canonniers n'avaient pas été rentrés et ils ont ouvert le feu !! Le temps que je fasse cesser le feu, le cargo allemand était en flammes...Logiquement me voici ennemi de l'Allemagne, dingue...
Cependant, je suis rentré à Brest sans qu'aucun navire de guerre allemand ne me tire dessus...
On verra plus tard.









































Datas des trois dernières patrouilles.











Au total depuis mon départ de Brest, ça fait donc 124 764 tonnes coulées pour 19 navires dont deux gros pétroliers et un petit.

A suivre.

Pour la 20ème patrouille, on va dans le carré AK46, sur la route des convois du Nord.
Bien que je m'étais juré de ne pas user de torpilles avant d'y être, j'ai croisé un gros cargo trop tentant pour le laisser filer. Il ne m'a coûté que 2 torpilles(bien ajustées faut le dire) avant de sombrer.



















Rester en surface contre les escorteurs, ils en ont de bonnesau BdU ! On fait au mieux 20 noeuds par mer calme et eux 35 noeuds, on ne resterait pas longtemps entiers ! Serait temps de placer d'anciens sous-mariniers au BdU et pas des stagiaires inexpérimentées !
Non mauvaise tactique.
Il faut au contraire se placer en plongée périscopique devant le convoi et tirer quand il passe à angle droit. Ainsi on peut même tirer en salve, si les torpilles en ratent un il y aura toujours un autre plus loin derrière. Ne rester en surface que si la mer est calme et autorise l'usage du canon mais surtout pas à proximité d'escorteurs !

Parole d'expert.



Actuellement toujours en route, peu d'activité dans mon voisinage, tant mieux !
C'est une patrouille plutôt dangereuse, je ne sais pas si j'en reviendrai...

Je reviens de l'enfer !
J'ai enfin pu attaquer un énorme convoi protégé par beaucoup de navires de guerre.
Beaucoup de navires au fond et même deux escorteurs.
Mais les rostbeefs sont très susceptibles et ils n'apprécient pas vraiment qu'on leur coule des navires de Sa Majesté. Alors ils s'y sont mis à deux pour m'avoir...
Mais j'ai pu m'en tirer et après les avoir baladé route inverse à celle du convoi ils ont été obligés de laisser tomber pour aller en protection des cargos.

Not yet Kameraden NOT YET !



Actuellement en route vers le ravitailleur.
Images plus tard, je dois éditer pour éclaircir car tout s'est passé de nuit.

J'ai supprimé la moitié des images mais il en reste encore beaucoup trop durant une bataille qui a duré 3 heures ! Alors tant pis, je ne trie pas et je les livre en vrac. On peut se faire une bonne idée de l'expérience !

M22 en cours au départ du ravitailleur. Cap à l'Est pour un retour à la base.
J'ai oublié de brancher Bandicam et je reviens avec la seule dernière image capturée, le bilan provisoire.



Et tout au canon ! J'ai tiré des torpilles mais les unités était détruites avant qu'elles n'explosent.

M22-2.

Poursuite de la route de retour.
J'ai eu l'imprudence d'attaquer une petite escadre composée de 4 destroyers. J'en ai coulé un puis les autres se sont acharnés contre moi. Ils ont même fait venir un avion !



La bataille a tourné en jeu des chats(eux) et de la pauvre petite souris(moi...). Le bateau a été sérieusement endommagé mais rapidement réparé.







J'ai finalement décidé de me poser sur le fond à plus de 100 mètres et ils ont perdu ma trace. Je n'y croyais pas mais ils ont fini par s'en aller !!
Cinq heures plus tard j'ose enfin remonter en surface pour respirer le bon air du large.

Il ne restait plus qu'à rentrer à Brest.
Alors que j'entrais dans le golfe de Gascogne par le Nord-Est, deux autres destroyers me détectent et foncent sur moi. Mon bateau avait été trop amoché pour résister à un second grenadage massif, la coque était à 43% d'intégrité.
Et ils m'ont eu alors que j'avais la maison en vue...

Trop triste...

Alors j'ai triché et j'ai repris la dernière sauvegarde.
Finalement rentré à Brest sans plus de problème mais désormais il va falloir être beaucoup plus prudent.

La dernière image avant de sombrer...


Contrairement aux pauvres sous-mariniers, je renais à la vie.










Dure-dure la guerre sous-marine...

Patrouille suivante, on quitte Brest le 1er mai 1943.
Carré de patrouille dans le golfe du Mexique, c'est très loin. J'ai un petit peu remonté le réalisme mais pas trop quand même !

J'essaye de garder mes torpilles pour le but ultime mais j'en ai quand même dépensé 2 pour un total de 4 cargos coulés. Non elles n'ont pas fait ricochet, j'ai coulé les deux autres au canon !

Enfin arrivé, non pas dans le Golfe du Mexique comme je l'avais écrit mais dans la Mer des Caraïbes. Mission accomplie, je me promène dans le secteur. Pas grand chose mais quand même quelques belles proies qui me font un total de plus de 100 000 tonnes quand je remets le cap à l'Est.