Carrière Von Libin(2)

Finalement rentré à Brest.
C'est long la traversée de l'Atlantique en diagonale !
Arrêt près de u-488 pour recharger des torpilles puis remontée tranquille.
Dans le Golfe de Gascogne, un bout de route à côté d'un autre sous-marin, c'est assez rare !!





































































A suivre après mes congés réglementaires !

Je viens de voir qu'au terme de cette mission, je dépasse le million de tonnes coulées !!

Bon, on me refuse mes congés payés et on me force à repartir...

Patrouille 24, pour me venger, je ne vais pas très loin mais...le coin est dangereux...
Bonne pêche mais quand même accroché par une corvette que j'ai réussi à couler en tirant une torpille de l'arrière et au jugé !! Très joli coup et j'ai offert un verre de schnapps à l'équipage pour fêter ça. Ensuite on rentre à la maison, le coin est trop malsain.





































































A suivre.

Patrouille 25.
Je me désigne un carré de mission "sécurisé" car situé "dans le trou" de l'Atlantique Nord là où aucun avion ne peut arriver. La carte plus bas montre bien ça, la zone hachurée en vert se situant entre les rayons d'action aériens alliés.
Mais bien sûr, encore faut-il y parvenir.
Chose faite sans encombre et même avec un bon bilan.






























Serait quand même temps qu'ils me coulent parce que bientôt, je n'aurais plus le temps de jouer à ça !
Je pourrais peut-être démissionner ?

En remontant vers le Nord, je croise un iceberg. Une torpille ne le détruit pas...

Patrouille 26. Au départ, à peine sorti de l'abris, attaque aérienne. On s'en sort bien mais la route est longue encore pour le carré de mission...

















































A suivre...

La descente vers le Sud est longue et fastidieuse. Mais elle a été profitable puisque j'arrive au carré de mission avec plus de 80 000 tonnes coulées !
J'ai croisé un mini convoi composé d'un gros paquebot, d'un gros cargo et d'un contre-torpilleur de protection. Je les ai eu tous les trois essentiellement grâce à des torpilles acoustiques ! Mais le contre-torpilleur m'a coûté 4 torpilles avant de sombrer, c'est rarissime d'ordinaire une seule suffit !

Une volée de screen et j'en ai pourtant supprimé la moitié !





































































Ca ne doit sans doute pas intéresser grand monde, ça prendra de la valeur avec le temps quand je serai mort.

Après avoir patrouillé mon carré durant 24 heures, je pars pleine Ouest et je tente d'aller me cacher à Buenos Aires, terre alliée. Je remonte l'estuaire difficilement avec parfois 3 mètres sous la quille. Finalement je remonte en surface et c'est à ce moment là que je vois des destroyers anglais dans le port ! Je les coule puis je fais demi-tour. Hélas, mes canonniers ont continué à tirer sur tout ce qui bouge et ont atteint un destroyer argentin...Les argentins se mettent alors à m'attaquer et je suis tellement amoché que je quitte la partie pour reprendre une sauvegarde.
Cette fois je longe la côte jusqu'au dessus du Brésil puis je rallie U-488, le ravitailleur.
De là route vers Brest.

Quelle aventure...

Finalement bien rentré à Brast sans plus subir d'attaque aérienne.
Sur le retour j'ai pu couler deux navires avec le seul canon de pont et en plein jour malgré que ça se passait à l'entrée du Golfe de Gascogne. En mars 1944, c'est extraordinaire.
Et pour cette fois, j'ai rangé le bateau dans un abri sans rien casser.

Ca ne paraît pas mais ce n'est pas simple, faut pas aller trop vite et à petite vitesse le bateau ne maoeuvre pas bien...

Rapports officiels des deux dernières patrouilles.

Il a suffit que je mette le nez hors de l'abri pour qu'une attaque aérienne commence !
Encore passé à travers, plusieurs appareils touchés mais aucun officiellement détruit...
Mission en AL99, terminée.

















Je trempe à 60m de fond en attendant qu'il passe quelque chose...