Campagne Jochen Mohr(GWX 3.0)

Pas coulé !



Reparti de U-488 dans la nuit, je me rends alors compte qu'en ayant ravitaillé avant de patrouiller 24 heures dans le carré de mission assigné, ça m'a fait perdre les points et les objectifs...Par conséquent je suis en "free mode", je vais chasser où je veux. Mais je descend quand même et vient rôder près de Natal, dans le Nord du Brésil.
Eh ben...Pas un poisson-chat à me mettre sous la torpille, rien de rien.
Tout au plus un avion et au loin, quelques destroyers qui font semblant de chercher après moi.

Alors, je retrace une route vers Rio, on verra où ça mènera. Je préviens quand même que, selon mon humeur, je peux brusquement décider d'aller ailleurs...

Et on continue...
De Natal à Rio, un seul cargo rencontré.
Envoyé par le fond mais il m'a coûté 3 torpilles...















Je ne sasis plus quoi faire pour trouver des cibles. Pourtant ce secteur devrait logiquement être très riche...

Affaire à suivre.

Descendu jusqu'à Punta del Este(Uruguay) et tout ce que j'ai rencontré, c'est un petit convoi de navires argentins, donc toujours alliés à cette date...

Ras le bol, je remonte vers la base. Par sécurité, je ravitaille à Vigo puis je rentre. Ca fait donc 36 patrouilles terminées car le jeu compte "+ un" après un ravitaillement.

Et le temps passe...

































Déjà fin mars 1944...

Et on repart.
Avec les changements, les réparations et modifications plus les ajouts de matériel nouveau, on est déjà en avril quand on quitte enfin Lorient...
Cette fois, j'ai un schnorkel, on va pouvoir aller plus vite en plongée !!

Premier succès grâce à une torpille acoustique, elle frappe une frégate qui ne tarde pas à sombrer.
Plus tard, un joli coup contre un transport de troupe: tirée à 7500 mètres, la T1 file vers lui, mais c'est loin et il avance à 17 noeuds ! Je reprends mon cap vers le carré de mission, convaincu que je vais le rater.
Soudain: boum !
Après un moment, il stoppe. Je reviens vers lui et je l'achève.

U-124 héroïque, de jour en plein dans les zones ennemies. Un avion a lancé quelques bombes mais les dégâts ont été rapidement réparés.

Mission en cours.

























































A suivre !

Pour les amateurs, un livre palpitant:


Phto de l'auteur:


Quand je lisais ce livre jadis, je n'avais pas internet. Maintenant, c'est un régal de pouvoir aller vérifier tout ce qui est raconté et avoir des images en prime !

L'auteur, Jochen Brennecke, n'était pas un commandant de sous-marin mais il a été très proche des affaires durant la guerre et a fréquenté nombre de personnages concernées. La traduction est très bonne et on peut vraiment se sentir à bord de ce qui fut un cercueil d'acier pour 32 000 des 38 000 marins engagés dans l'arme sous-marine.

Reprise.



Après avoir stationné dans le carré de mission, je remonte vers le Sud de Rockall Bank, un cimetière d'u-booten...Quelques bons coups mais pas de gros gibier.
Il y a des patrouilleurs partout et des avions qui arrivent sans prévenir.
Aussi, je décide de ne pas tenter le diable et je reprends la route de Lorient.

Alors que j'étais un peu distrait, je vois soudain 'nous sommes trop profond" !
Nous étions à 200 mètres !!
Calmement je prends les mesures nécessaires, arrière toute, chassez aux balasts, lentement le bateau remonte.
On l'a échappé belle.
J'ai sans doute été grenadé pendant que je n'avais pas mis les écouteurs aux oreilles...

Actuellement en approche du golfe de Gacogne par le Nord Est.

Images pas dans l'ordre, désolé.





















































Revenu de l'enfer, ça mérite une bière !

Rentré à la maison !
Ca n'a pas été simple, j'ai du rester en plongée jusqu'à l'entrée du port, il y avait des destroyers partout, même près de chez nous(pour le moment, c'est encore "chez nous" mais ça ne va plus durer...).

Bon ça fait quand même une très bonne patrouille avec plus de 70 000 tonnes au fond.



















La prochaine patrouille sera sans doute nettement plus épineuse...
Affaire à suivre.

Pour cette 38ème patrouille, j'ai changé de bateau pour avoir un type IX/D2, plus rapide en surface et qui possède plus de torpilles que le type IX/B.
Mais c'est une erreur historique et j'ai été obligé de "tricher" en renommant ce "u-181" en u-124...

Tout ces changements, plus les choix de torpilles, on tenu la bateau à la base plus longtemps que d'ordinaire et je ne repars que le 11 juillet 1944...

A peine sorti du bassin de départ, "alerte aérienne" ! Heureusement, j'avais mis mes mitrailleurs FLAK en poste mais, ils n'en ont descendu aucun. Ceux qui sont tombés ont été descendus par la DCA du port.

En route pour un carré de patrouille au Sud Ouest de Madère, je ne croise qu'un seul navire ennemi, un pétrolier norvégien qui naviguait de concert avec un bateau suédois, neutre. A moins de 1000 mètres, je tire une T3(électrique, sans bulles) qui fait un trou dans la proue juste au niveau de la ligne de flottaison. Il ne coule pas assez vite, je tire donc une T1 au centre et là, il explose. Ca fait 11 000 tonnes de plus au tableau de chasse.

Patrouille terminée, je chasse dans les parages mais il n'y a rien...
Je vais essayer de patrouiller près de Gibraltar mais il faut absolument éviter les gros convois qui désormais sont très(trop) lourdement protégés. Si on est repéré, on n'a strictement aucune chance d'en réchapper...



















Je dois aussi ajouter que j'ai encore été attaqué par surprise(distraction...) par des avions venus de nulle part. Ils m'ont fait quelques dégâts vite réparés, sauf le lance-leurres qui est détruit.

Près du goulet de Gibraltar, un défilé de navires de guerre...
Même une "task force" entourant un porte-avion, trop dangereux.
Un seul convoi détecté mais trop loin.
Foutons le camp !
Retour à la base en plongée, pas d'avion ennemis, ouf.

Quand même coulé 30 000 tonnes dont deux escorteurs grâce à ces superbes torpilles T5 à guidage acoustique. On tire même à 5 000 mètres et ça file droit dans les hélices ! Mais il faut songer à stopper les machines sinon la torpille peut revenir vers le sous-marin...Dommage que ces torpilles sont en nombre très limité...

En quittant Lorient, nous sommes attaqués par des avions. Toutes les DCA entrent en action et en descendent plusieurs. Pas simple, ça devient malsain ici, j'ai bien l'impression que nous n'y reviendrons plus...

Une vidéo sous l'attaque, suivie d'une chasse à deux cargos qui m'ont coûté pas mal de torpilles. Les petit cargos tiennent la mer plus longtemps que les gros !!



Quelques screens de la suite.
En cours de route on m'informe que mon port d'attache a changé, je dois rentrer à Trondheim...
Ca sent la fin...























Maintenant, je ne sais pas si U-124 pourra reprendre la mer avant la fin de la guerre...
A suivre.

Après avoir soigneusement choisi ses torpilles(des T5 en suffisance), U-124 est reparti et encore une fois, sous une attaque aérienne...
Pas de dégâts.

Mon carré de mission n'existant pas sur la carte, je fais de la chasse libre. Mais je ne rencontre que deux petits cargos, même pas 5 000 tonnes à eux deux.  Je m'en vais alors du côté de Mourmansk des fois que...
Mais non, rien. Je fais alors cap inverse et soudain, je me rends compte que je suis poursuivi par un gros convoi filant vers l'Ouest. Je stoppe tout pour l'attendre, mais quand je vois le nombre d'escorteurs, je me dis qu'il ne faut surtout pas se montrer. Une frégate passe à 400 mètres de moi sans repérer le sous-marin, le tube était prêt, je n'avais qu'à donner l'ordre et elle était au fond. Mais je laisse filer tout le convoi puis je m'en éloigne au plus vite. Si j'avais coulé la frégate, les autres escorteurs auraient alors su que j'étais là, ils auraient quadrillé la zone et inévitablement, coulé le bateau.
Bon, du point de vue des planqués du parti, je suis coupable de "lâcheté devant l'ennemi", ça vaut 12 balles dans la peau, au mieux...Par contre de mon point de vue, j'ai sauvé la vie de tout l'équipage.

Mission toujours en cours, à suivre.