Campagne Jochen Mohr(GWX 3.0)

Départ de la patrouille 30. Les quais sont chargés de gens nous souhaitant bon voyage et bonne chasse.

Au sortir du port, nous manquons de percuter le torpilleur d'escorte et un peu plus loin, nous devons manoeuvrer pour éviter un autre sous-marin rentrant à la base...Mauvais signe tout ça.

Alors que nous entrons dans le Golfe de Gascogne, un avion isolé est signalé. J'avais prévu le cas et positionné les mitrailleurs FLAK à leur poste mais, ils visent très mal et l'avion nous touche sérieusement...Les dégâts sont trop importants, deux tubes détruits, trois hommes tués(trois canonniers chevronnés...) et des voies d'eau. Pour une traversée de l'Atlantique, c'est trop risqué.
Retour à la base pour réparer...

Ensuite re-départ mais de nuit cette fois, c'est nettement mieux.
Nous devons aller du côté de Curaçao, chasser les lourds pétroliers si précieux pour les alliés. La route sera longue encore...
En chemin, un gros cargo isolé se présente et nous le coulons de 2 torpilles bien placées.

Mission en cours.





























Plutôt fatiguant ce jeu...

Les cargos rencontrés m'ont fait consommer ma réserve de torpille pour finalement un très maigre butin: aucun tanker...
Tant et si bien qu'une fois terminée la patrouille de 24 heures dans le carré assigné, je suis obligé de prendre le chemin du retour, n'ayant plus que les torpilles arrières. Trop dangereux pour affronter les escorteurs de 1943 !

























Bientôt arrivé à Lorient. La prochaine fois, on évitera les cargos isolés...

Sur le chemin de retour, je reçois un message radio du BdU qui m'informe qu'un ravitailleur est arrivé en position au Sud-Ouest des Açores ! Je change de cap et m'en vais ravitailler. En fait, il n'était pas encore là mais il arrivait.
Après, je suis reparti vers les Caraïbes afin de chasser les tankers.
Actuellement en route, nous n'avons croisé qu'un petit pétrolier et un cargo que nous avons coulés au canon et en pleine nuit...

Nous repartons de u-488 avec le plein de torpilles et de combustible. Direction: Curaçao.

Partie 1.

L'approche de la zone portuaire est relativement simple, mais il y a des chiens de garde partout. On commence par couler un Clemson américain, les autres sont plus loin et ne changent pas le chemin de leurs rondes. A 1 noeuds et en silence absolu, on avance vers le port. Des tas de pétroliers sont là, amarrés ou à l'ancre, proies faciles !
Et le carnage commence seulement entrecoupé par la présence manaçante d'un destroyer que nous coulons facilement.

Plus de torpilles dans les réserves intérieures, il faut faire surface pour rentrer les réserves extérieures. Pas question de remonter ici, éloignons-nous un peu de Curaçao. Alors que je me pensais assez loin, je fais surface pour être immédiatement détecté par radar !
Plongée rapide immédiate.
Mais le matériel des chasseurs est plus performant que nos outils de défense, même sans faire un seul bruit ils nous détectent par recoupement de leurs sonar et asdic, impossible de leur échapper.
Je descends à 80 mètres pensant dérégler leur tir, rien n'y fait.
Le bateau est touché gravement, 3 compartiments prennent l'eau et u-124 s'enfonce inexorablement.
Je quitte le jeu avant qu'il ne soit détruit, nous étions à 170 mètres...



































Partie 2

Après ce cruel échec dû à ma trop grande gourmandise, je reprends la dernière sauvegarde et me retrouve en approche de Curaçao. Cette fois, je fais le minimum mais je coule quand même quelques tankers avant de prendre la fuite en toute sécurité.
Et retour auprès de u-488 avant de reprendre la direction de la maison.







































Pas facile de survivre dans les sous-marins...

Suite et fin. Reparti avec le plein, je me risque à aller faire un tour dans le goulet de Gibraltar...
Enfin, pas vraiment dedans mais tout près.
Il y a des convois partout mais en 1943, il faut les éviter si on veut rester en vie. Je m'enfuis donc et remonte jusqu'à Lorient sans rencontrer le moindre gibier isolé.
Mission terminée, repos !!



















Au passage, je suis tomb hier sur une vidéo d'une autre simulation de sous-marin, ça décoiffe ! Ca s'appelle "UBOAT" tout simplement.



Pas trouvé comment télécharger sans passer par Steam, donc, pas pour moi...

Patrouille 33.
Pas de photo, juste une "petite" vidéo.



Part 2 à venir. On est dans AF45, je n'ai plus de torpilles devant et seulement 3 derrière. Faut donc rentrer sans se faire accrocher...

"petite", 1h20

Oui lol, c'est pour ça que j'ai mis des guillemets.

Faut bien ça pour être en immersion totale avec cette simu.

Rentré à Lorient sain et sauf !
Quelques petites frayeurs, mais pas une seule grenade.
Je suis prudent comme un Sioux !!

Le retour en vidéo, beaucoup plus courte, elle ne fait que 1h et 1 minute.





Rentré le 4 novembre 1943.
Ca va être compliqué maintenant...

Pour cette 34ème patrouille(sans doute un record dans les ubooten), je démarre sans tracer de route et je quitte Lorient en naviguant à vue.

Ma mission est similaire à celle du U-513 dont j'ai raconté l'histoire dans un sujet voisin, je vais donc au large du Brésil.

En chemin, je croise quelques navires intéressants, dont un gros tanker norvégien(ennemi) qui naviguait abrité derrière un cargo suédois(neutre).
Pour être sûr de ne pas le rater, je tire une torpille acoustique. Normalement, elle va se diriger vers les hélices ou, au pire, vers la salle des machines. Par sécurité, je tire aussi une T3(normale).
Première explosion: l'acoustique. Mais pas de bol, elle a frappé le cargo suédois...Heureusement, il ne coule pas, j'espère que la Suède restera neutre...La T3 frappe le tanker là où j'avais visé, juste dans l'étrave. Comme ça, il embarque plus vite des tonnes d'eau et coule plus vite en s'enfonçant par l'avant. Mais comme ce n'est pas encore assez rapide, je tire une T1 dans ses machines. Il explose, unité détruite. Et je reprends ma route vers le Sud-Est.

Mais je constate que tout ça m'a fait user la moitié de mes torpilles et comme U-488 est toujours à sa place, je change de cap et vais ravitailler avant de partir vers le Brésil.

















































Voilà, je repars sur le champ.
Si je coule, sachez que j'ai été heureux de vous connaître.