Carrière Wilhelm Klink

J'ai attaqué un convoi et coulé 123 000 tonnes !
Toutes les acoustiques ont fait mouche.
Mais deux chasseurs n'ont pas apprécié et ont fini par m'avoir.

Vu que j'avais attaqué ce convoi "pour rire", je reprendrai une sauvegarde.

Avant d'être coulé hier, j'avais à tout hasard enregistré une sauvegarde. Généralement une sauvegarde près d'un convoi ne se recharge jamais. Ben cette fois ça a marché et je me suis retrouvé entre les 3 destroyers qui voulaient ma peau !

Cette fois, j'ai été plus rusé qu'hier, j'ai utilisé les leurres sonores et ça les a déconcerté complètement. Ils ont même fait venir un Catalina qui a mis toutes ses bombes à côté !
4 heures après l'attaque du convoi ils étaient toujours à mes trousses, mais ils me perdaient de vue. De plus, ils ne larguaient plus de grenades...Réserves épuisées sans doute. J'ai tenté de remonter pour les achever avec les deux seules torpilles qui me restaient, des acoustiques qui auraient fait mouche à coup sûr, mais les deux périscopes étant hors d'usage, il m'a été impossible de tirer...
Alors je suis redescendu à 100 mètres, en tremblant car la coque était fort abîmée et, à la vitesse de 1 noeud je me suis éloigné direction opposée à celle du convoi.
Finalement ils ont abandonné la partie !

SAUVÉ !!

En vitesse, cap sur Bordeaux.
En rentrant dans l'estuaire, j'ai sans doute touché quelque chose car on a de nouveau eu une grosse voie d'eau. Mais j'était en surface et on y est resté.

Hier j'avais 123 000 tonnes mais aujourd'hui je ne suis crédité que d'un peu plus de 100 000. C'est parce que en reprenant la sauvegarde, les navires sur le point de couler n'était sans doute plus là.
Pas grave, 100 000 tonnes tout seul dans un seul convoi, ça frise l'exploit, surtout en 1943 !



A part ça, malgré que ce n'est qu'une simu, on est quand même sacrément content de revenir en surface !! 40 000 marins n'ont pas eu cette chance et quand on pense à la façon dont ils sont morts, c'est terrifiant !

Batterie d'images pour illustrer tout ça.

Après cette brillante aventure, départ pour la mision 33 qui m'impose d'aller dans le carré AL33.

A peine passé l'estuaire, attaque d'un Catalina qui fonce droit sur nous ! Je vire le bateau pour que les mitrailleurs-FLAK puissent tirer. Comme le premier passage ne donne rien, je prends en main le quadruple affût qui tire à une cadence de 480 coups minutes ! Au second passage, le Catalina pique dans la mer !! Première fois que je descends un Catalina en tirant moi-même !!



A peine le temps de reprendre la bonne route qu'un autre avion est signalé. Cette fois c'est un quadrimoteur Liberator. Je reprends le quadruple et je tire. Je suis sûr de l'avoir touché mais j e ne suis pas sûr que c'est moi qui l'ai descendu. En tout cas ça fait deux avions descendus en un rien de temps !

Mais la coque a souffert, intégrité de 74%...

J'hésite à rentrer, finalement je continue, on verra bien ce qui arrivera mais une chose est certaine: pas de convoi cette fois !!







Voici pourquoi en rentrant de la mission précédante, j'ai eu une voie d'eau: j'ai sans doute touché une des mine sur la droite de l'estuaire...








































A suivre.

Suite...et fin.

Il y a de méchants canards sur ma route et à 74% d'intégrité je n'ose pas attaquer.
Je croise la route de deux gros cargos, je monte en surface pour les rattraper plus vite mais l'un d'eux me tire dessus et me fait de gros dégâts dont le moteur babord HS...
Coque trop abîmée pour continuer, je décide d'abandonner la mission et de rentrer à Bordeaux.































Je vais essayer de me faire transférer dans la 11ème, à Bergen. Le golfe de Gascogne devient vraiment trop dangereux en ce début 1944.

Je repars de Bordeaux pour la patrouille 34 sans changer de flottille, demande rejetée.
A nouveau, je suis attaqué par un escorteur solitaire malgré que j'étais à 80 mètres de fond et silencieux...
Je monte au périscope et j'attends. Il s'avance en zigzaguant et soudain il tire un des terribles hérissons, ce genre de truc qui lance une douzaine de grenade en cercle autour du bateau...Je fonce barre à babord toute pour sortir du cercle mortel et je réussi à éviter l'implosion.  Je manoeuvre et j'attends qu'il vienne du bon bord, je tire une acoustique et elle va lui exploser gouvernail et hélice. Victoire !!
Mais la coque est quand même un peu abîmée et j'abandonne la mission, retour à Bordeaux prudemment.

Cette fois ma demande de mutation est acceptée et j'achète un Type XXI(20 000 unités de renommée...). Mais quand la mission commence, je n'ai aucun port d'attache et le bateau se trouve sur l'Equateur...Je me promène un peu histoire de voir comment il marche, c'est splendide, il avance à 17 noeuds en plongée et sans le schnorkel puisqu'il n'y a pas de diesel.
Mais ça m'ennuie, je n'ai pas de port d'attache donc ça ne va pas. Aussi, je sors du jeu et je prends la sauvegarde précédente qui me rend mon type IX/D2 mais pas les 20 000 unités de renommée...Pas grave je sais comment m'en rajouter.



Et on s'en va de Bordeaux. A peine sorti, une attaque de B24. On en descends 2 et tous sont touchés mais aucun n'est comptabilisé...Une fois en haute mer, je laisse courir le bateau en vitesse x125 et je vaque à mes occupations. Quand je reviens, je vois qu'on a été touché. Je regarde et vois qu'on a été attaqué par un Catalina que les mitrailleurs-FLAK ont descendu !!

On va dans le carré AL33, c'est dans le Nord. Un cargo se présente et je l'envoie par le fond.
On en est là de la patrouille 35, en avril 1944. La guerre sera bientôt terminée.

Alors que j'étais à 100 mètres de fond, moteur arrêté donc complètement silencieux, un destroyeur m'accroche et commence à me canarder...Je monte au périscope, je tire une T5 acoustique et le destroyer coule. Victoire mais ça commence à devenir extrêmement dangereux. Je ne peux pas rentrer "en vitesse", je dois rester le plus discret possible car il y en a partout. JE réussi à éviter un énorme convoi militaire avec un porte-avions trop bien protégé pour être attaqué et, plus loin, j'évite un énorme convoi impossible à prendre par surprise, les chiens de garde sont trop nombreux. A suivre...

Mission 35 terminée.
Ca devient vraiment très dangereux de s'aventurer dans l'Atlantique Nord !
A deux reprises j'ai été accroché par un destroyer alors que j'étais à 100 mètres de fond et complètement silencieux. Leur ASDIC fait des merveilles.
Les deux fois, j'ai du zigzaguer, varier vitesse et profondeur mais impossible de les semer. Les deux fois je suis remonté au périscope et j'ai tiré une acoustique. Et les deux fois, le destroyer a explosé !
Le retour s'est fait en slalomant entre les convois et les alertes destroyers.

















Je crois que je vais aller me planquer en Argentine et attendre la fin du conflit afin de sauver mes hommes. Mais encore faudra-t-il y arriver...

Bien décidé à en finir avec cette guerre perdue, je quitte la base et immédiatement, nous sommes attaqué par des avions. On en descend plusieurs mais aucun n'est comptabilisé(je n'en ai eu aucun personnellement).
Comme si ce n'était pas assez, il y a des mines partout, faut vraiment faire fort attention !

Je fais route au Sud et m'en vais faire relâche au Cap Vert, dans une petite crique où on sera bien tranquille pour attendre la fin du conflit. Au besoin, on descendra vers Buenos Aires et bye bye marquise.

Dans la réalité c'est ce que j'aurais fait ! Le cours de la guerre n'aurait pas été modifié si j'avais sacrifié les hommes et le bateau pas vrai ?



















Voilà.

L'ennui est permanent au Cap Vert, il n'y a rien. Aussi Klink décide de rallier Buenos Aires.
En chemin on coule un dernier cargo puis, après des jours de navigation prudente, on arrive dans l'estuaire du Rio de la Plata et là, il faut faire très attention car on n'a pas plus de 3 mètres d'eau sous la quille en plongée périscopique. La dernière partie du trajet se fera même en surface en rasant la côte Argentine car il y a des destroyers anglais au large, qui attendent d'intervenir en dehors des eaux territoriales. Mais finalement on y est arrivé et on est maintenant bien tranquilles en Argentine. Et là au moins, on ne va pas s'ennuyer, il y a tout ce qu'il faut.

Même pas une pointe de nostalgie en quittant le Cap Vert !
















Buenos Aires et l'Argentine, ENFIN !








Cette fois la carrière de Klink est bien terminée !

Merci d'avoir suivi.